HERMAN RAREBELL 'Too late for peace..."
2006 Selfmadegod records - CD 3"
Herman Rarebell a été un des batteurs du groupe mythique Scorpions et nous voici donc avec un album qui n'a strictement aucun rapport avec le bonhomme, hormis le nom du groupe polonais qui nous fait peut-être un clin d’œil mais avec une musique, qui comme dirait Christophe d'Inhumate, 'Faut que ça chie!'. Et c'est exactement ce qu'il faut pour se la péter dans la joie.
Donc on a affaire à un disque qui va directement à l'essentiel: du grind mais dans une veine qui me fait penser à un grind rock avec un coté punk.
Herman Rarebell, ici, c'est une aventure de 15 titres en 18 minutes, avec des titres variés, alternant des tempos rapides comme Flash Gordon sous amphétamines et d'autres plus posés, amenant des phases qui lorgnent vraiment vers un coté rock, comme dit un poil plus haut. mais l'autre élément qui marque aussi, c'est le coté pas prise de tête, dans la forme et un peu le fond, renvoyant au punk qui ne se prend pas le choux.
Le son n'est pas là pour rigoler, ça déboîte sévère de ce coté, avec une basse audible (oui, j'aime bien insister quand on l'entend cet instrument). La voix a aussi un coté accrocheur, quelque part vers la voix de Bombarde, pour ceux qui connaissent. Et le chant est parfois typé punk hardcore, au milieu du flot de grind balancé en fioriture.
Les gars font aussi un peu n'importe quoi, tant que ça bute, comme commencer des titres avec des larsens, avant d'embrayer sur de la violence presque gratuite mais au combien jouissive, avec un petit coté old-school qui traîne. C'est tellement bien que même le chat aime ça, c'est dire. D'ailleurs, quand on y songe, Herman Rarebell, outre le nom d'un vieux batteur, ça sonne aussi comme du grind ancien, affiné en cave. C'est peut-être pour ça que ce disque est si efficace?
Herman Rarebell a été un des batteurs du groupe mythique Scorpions et nous voici donc avec un album qui n'a strictement aucun rapport avec le bonhomme, hormis le nom du groupe polonais qui nous fait peut-être un clin d’œil mais avec une musique, qui comme dirait Christophe d'Inhumate, 'Faut que ça chie!'. Et c'est exactement ce qu'il faut pour se la péter dans la joie.
Donc on a affaire à un disque qui va directement à l'essentiel: du grind mais dans une veine qui me fait penser à un grind rock avec un coté punk.
Herman Rarebell, ici, c'est une aventure de 15 titres en 18 minutes, avec des titres variés, alternant des tempos rapides comme Flash Gordon sous amphétamines et d'autres plus posés, amenant des phases qui lorgnent vraiment vers un coté rock, comme dit un poil plus haut. mais l'autre élément qui marque aussi, c'est le coté pas prise de tête, dans la forme et un peu le fond, renvoyant au punk qui ne se prend pas le choux.
Le son n'est pas là pour rigoler, ça déboîte sévère de ce coté, avec une basse audible (oui, j'aime bien insister quand on l'entend cet instrument). La voix a aussi un coté accrocheur, quelque part vers la voix de Bombarde, pour ceux qui connaissent. Et le chant est parfois typé punk hardcore, au milieu du flot de grind balancé en fioriture.
Les gars font aussi un peu n'importe quoi, tant que ça bute, comme commencer des titres avec des larsens, avant d'embrayer sur de la violence presque gratuite mais au combien jouissive, avec un petit coté old-school qui traîne. C'est tellement bien que même le chat aime ça, c'est dire. D'ailleurs, quand on y songe, Herman Rarebell, outre le nom d'un vieux batteur, ça sonne aussi comme du grind ancien, affiné en cave. C'est peut-être pour ça que ce disque est si efficace?
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