CUNT PUS INGURGITATOR 'Impulse to fuck a headless whore'
2013 Emocaust Records - CD
Commencer cette chronique sans évoquer Bob Macabre, ce serait vous balancer un truc totalement obscure sans point de repères. Bob Macabre est un américain vivant à New Alexandria, en Pennsylvania, pratiquant le metal depuis longtemps au sens large et ayant environ 2141400 projets différents, dont certains sont bien marrants (Short bus retard...), capable de passer d'un objet fort sérieux au truc le plus absurde qui soit, avec un son variable suivant le projet et depuis 2017, plus souvent sous son nom Bob Macabre, en plus de son label Macabre Masterminds records, créé en 2004. Ainsi il n'est étonnant de voir du black metal (Occulticus par exemple, version true black virulent) avec du heavy thrash avec Heavy Metal aggression (sous son nom) mais toujours avec une touche gore quelque part... Et une vision personnelle de la musique. Et ce qui fait de lui un bon candidat pour la série des 'Le cas'. Et de fouiner dans ma collection pour en ressortir les quelques disques du sieur pour un pe
Ceci étant planter, voic l'heure d'explorer les entrailles de cet album qui regroupe aussi la démo 'Slicing a corpses vagina'. Bon entre la cover et les titres, les amateurs de poésie risquent de ne pas s'attarder, les amateurs de viandes, de rester et les furieux acquérir quelques objets du sieur.
Impulse to fuck a headless whore, c'est un maëstrom de brutalité non stop. C'est un tabassage en règle de 32 minutes, qui se répartit en 52 délicates raclées. Et c'est un mixe de goregrind hyper dégueux avec de la harsh, saupoudré de folie. Et qui va vite, très vite, offrant parfois un panorama sonore proche de ce que pourrait être l'environnement sonore de l'enfer.
Alors oui, évidemment, le son n'est pas le top de ce que l'on pourrait espérer mais il est très correct, voir bon, pour le registre dans lequel évolue cet objet pour le moins radicale. Les 52 titres ne sont pas très différents entre eux certes, mais ils ont au moins des durées variables (de 0'15'' à 2'23'', presque progressif ça, non?) qui permettent de bien rouer de coups l'auditeur que tu es (ou pas si tu es une auditrice).
Mais ce qui ressort surtout de la chose, c'est la folie qui règne parmi les méandres numériques du disque. Et c'est cette folie qui fait que l'on peut adhérer (ou pas), en plus de pouvoir comprendre quand même la musique proposé, même si le son peut repousser au début les plus délicats des fans de trucs dégueux, en plus d'exploser les conventions musicales établies.
Commencer cette chronique sans évoquer Bob Macabre, ce serait vous balancer un truc totalement obscure sans point de repères. Bob Macabre est un américain vivant à New Alexandria, en Pennsylvania, pratiquant le metal depuis longtemps au sens large et ayant environ 2141400 projets différents, dont certains sont bien marrants (Short bus retard...), capable de passer d'un objet fort sérieux au truc le plus absurde qui soit, avec un son variable suivant le projet et depuis 2017, plus souvent sous son nom Bob Macabre, en plus de son label Macabre Masterminds records, créé en 2004. Ainsi il n'est étonnant de voir du black metal (Occulticus par exemple, version true black virulent) avec du heavy thrash avec Heavy Metal aggression (sous son nom) mais toujours avec une touche gore quelque part... Et une vision personnelle de la musique. Et ce qui fait de lui un bon candidat pour la série des 'Le cas'. Et de fouiner dans ma collection pour en ressortir les quelques disques du sieur pour un pe
Ceci étant planter, voic l'heure d'explorer les entrailles de cet album qui regroupe aussi la démo 'Slicing a corpses vagina'. Bon entre la cover et les titres, les amateurs de poésie risquent de ne pas s'attarder, les amateurs de viandes, de rester et les furieux acquérir quelques objets du sieur.
Impulse to fuck a headless whore, c'est un maëstrom de brutalité non stop. C'est un tabassage en règle de 32 minutes, qui se répartit en 52 délicates raclées. Et c'est un mixe de goregrind hyper dégueux avec de la harsh, saupoudré de folie. Et qui va vite, très vite, offrant parfois un panorama sonore proche de ce que pourrait être l'environnement sonore de l'enfer.
Alors oui, évidemment, le son n'est pas le top de ce que l'on pourrait espérer mais il est très correct, voir bon, pour le registre dans lequel évolue cet objet pour le moins radicale. Les 52 titres ne sont pas très différents entre eux certes, mais ils ont au moins des durées variables (de 0'15'' à 2'23'', presque progressif ça, non?) qui permettent de bien rouer de coups l'auditeur que tu es (ou pas si tu es une auditrice).
Mais ce qui ressort surtout de la chose, c'est la folie qui règne parmi les méandres numériques du disque. Et c'est cette folie qui fait que l'on peut adhérer (ou pas), en plus de pouvoir comprendre quand même la musique proposé, même si le son peut repousser au début les plus délicats des fans de trucs dégueux, en plus d'exploser les conventions musicales établies.
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