BBARBAPAPPA BUTCHERY 'Total war against Memel'
2018 INHUMAN HOMICIDE RECORDS - CD
Bbarpapappa Butchery nous revient avec cette compilation de titres venant de diverses productions étalées de 2007 à 2012, nous ouvrant un peu les portes de la vie secrète de ce one man band complètement pété du casque et qui ne se prend pas au sérieux (enfin, juste ce qu'il faut).
Chaque production de ce gars sympathique est un moment bien particulier: c'est du goregrind à la base mais qui passent moult choses à la moulinette avec, ce qui donne des titres tarabiscotés et complètement tarés, qui ont obligés de vous décrocher un petit sourire.
Dans cette compilation (on va dire que c'en est une, c'est plus simple), il y a une thématique qui fait la cohérence: c'est Memel. Alors oui, je vous vois venir "Ouais, c'est quoi Memel?". Alors, c'est qui plutôt, hein...
Memel est une vraie personne qui a chanté ou joué de la batterie dans divers groupes (Nirvanass, Bordel sonore...) et projets que l'on peut imbriquer dans le Triangle Infernal (demandez à Yoann ce que c'est que ce fameux triangle... rien de mathématique) et qui, du coup, est la personne à l'honneur dans ce split (enfin, à la façon de Yoarghhh).
Les 19 titres (pour un petit quart d'heure de gloire) sont généralement courts, avec une boite à rythme en guise de batterie mais less morceaux sont assez variés, certains étant ouvertement très rapides et d'autres, au contraire, plus lents et cherchant à créer une ambiance. Mais à la Bbarbapappa Butchery, donc une ambiance complètement pétée, avec le sérieux qu'il faut.
C'est efficace, avec des passages flirtant avec le céleste du Grand n'importe quoi ('666 vs 55') mais toujours avec une énorme dose d'humour.
Certains titres sont nettement orientés goregrind, sans le moindre doute mais d'autres y ajoutent des éléments improbables qui offrent ainsi un hybride en goregrind et l'ingrédient du morceau. Ce qui compte, c'est que ça marche et puis merde, un disque qui te fait sourire, c'est-y pas une bonne chose, hein?
Bbarpapappa Butchery nous revient avec cette compilation de titres venant de diverses productions étalées de 2007 à 2012, nous ouvrant un peu les portes de la vie secrète de ce one man band complètement pété du casque et qui ne se prend pas au sérieux (enfin, juste ce qu'il faut).
Chaque production de ce gars sympathique est un moment bien particulier: c'est du goregrind à la base mais qui passent moult choses à la moulinette avec, ce qui donne des titres tarabiscotés et complètement tarés, qui ont obligés de vous décrocher un petit sourire.
Dans cette compilation (on va dire que c'en est une, c'est plus simple), il y a une thématique qui fait la cohérence: c'est Memel. Alors oui, je vous vois venir "Ouais, c'est quoi Memel?". Alors, c'est qui plutôt, hein...
Memel est une vraie personne qui a chanté ou joué de la batterie dans divers groupes (Nirvanass, Bordel sonore...) et projets que l'on peut imbriquer dans le Triangle Infernal (demandez à Yoann ce que c'est que ce fameux triangle... rien de mathématique) et qui, du coup, est la personne à l'honneur dans ce split (enfin, à la façon de Yoarghhh).
Les 19 titres (pour un petit quart d'heure de gloire) sont généralement courts, avec une boite à rythme en guise de batterie mais less morceaux sont assez variés, certains étant ouvertement très rapides et d'autres, au contraire, plus lents et cherchant à créer une ambiance. Mais à la Bbarbapappa Butchery, donc une ambiance complètement pétée, avec le sérieux qu'il faut.
C'est efficace, avec des passages flirtant avec le céleste du Grand n'importe quoi ('666 vs 55') mais toujours avec une énorme dose d'humour.
Certains titres sont nettement orientés goregrind, sans le moindre doute mais d'autres y ajoutent des éléments improbables qui offrent ainsi un hybride en goregrind et l'ingrédient du morceau. Ce qui compte, c'est que ça marche et puis merde, un disque qui te fait sourire, c'est-y pas une bonne chose, hein?
Commentaires
Enregistrer un commentaire