MULK / BLATTE / GLAVIO
2018 INHUMAN HOMICIDE RECORDS - CD
Amis de la poésie, de la finesse et de la tendresse, ce split, je vous le dédicace! Si, c'est cadeau, ça me fait plaisir.
Les trois projets de la rondelle se partagent les 24 titres offrant un peu plus de 41 minutes de douceurs et de mélodies que même JJ Goldman envie!
MULK (one man band lyonnais) ouvre le bal avec son cyber goregrind qui lorgne sur ce coup pas mal vers la harsh. Alors, ceux qui ne connaissent pas Mulk, ça va être chaud de vous expliquer ce que c'est... Imaginez un melting-pot de goregrind sous acide où une espèce de cybergore vient folâtrer et qui finit en gangbang quand de la harsh et d'autres éléments tout aussi délicats viennent se greffer. Vous voyez le genre? Ben multipliez le résultat de votre imagination par le carré du degré de folie du plus grand asile de fous du monde. Et ça vous donnera une idée de la bête que Mulk régurgite, offrant vraiment un monstre de violence technologique sodomite dont vous êtes la proie, sur 5 titres qui vous ménera aux confins de la folie. Poésie quoi!
BLATTE (one man band aussi) enchaîne directement vers un brutal death complètement pété du bulbe, avec 7 titres où la folie n'est pas non plus absente. La forme que le bougre choisit est très brute de décoffrage mais où l'on navigue plus facilement en terrain connu même si Ré repousse ouvertement les limites de l'extrême du genre. Ça va vite mais les mélodies qui se démarquent font mouche (hahaha, que c'est cocasse pour une blatte...) quand la folie ne vient pas mettre son grain de sel ('la cucaracha'...) ou lorsque Mulk et Ré ne décident pas de faire un titre romantique qui s'avère une synthèse excellente des deux visions que proposent les gars, donnant un titre complètement azimuté mais super accrocheur. Quelque soit le titre, il y a toujours cette essence de brutal death qui y rampe, avec un coté fou furieux sympathique!
GLAVIO se présente enfin à son tour. Et là aussi, c'est du lourd. C'est un duo qui trouve bien qu'entre le brutal death et un grind brutal, le mieux, ce sont les deux. En même temps. Comme ça, pas de jaloux ni de répit, pour éviter que les fragiles se plaignent. Les 11 titres que propose le duo sont au péter du casque que brutal, avec un sens très marqué de l'efficacité, en proposant des titres vraiment accrocheurs. Pas le temps de souffler vraiment entre chaque titre car ici, c'est la défonce qui compte! Et pas un trip de drogue, non non, je parle de défonce de crânes. Le duo ne prend pas de pincette et fais dans l'urgence expéditive, comme si tu avais une grosse tourista et que tu est au dernier étage d'une tour de 35 étages où TOUT les WC sont hors service, comme les ascenseurs et que les chiottes les plus proches dispo sont dans l'autre tour de 35 étages, au dernier étages, à 200 mètres, de l'autre coté d'un fleuve en furie.
Un split idéal pour les barbecues entre potes ou voisins, histoire de détendre l'atmosphère.
Amis de la poésie, de la finesse et de la tendresse, ce split, je vous le dédicace! Si, c'est cadeau, ça me fait plaisir.
Les trois projets de la rondelle se partagent les 24 titres offrant un peu plus de 41 minutes de douceurs et de mélodies que même JJ Goldman envie!
MULK (one man band lyonnais) ouvre le bal avec son cyber goregrind qui lorgne sur ce coup pas mal vers la harsh. Alors, ceux qui ne connaissent pas Mulk, ça va être chaud de vous expliquer ce que c'est... Imaginez un melting-pot de goregrind sous acide où une espèce de cybergore vient folâtrer et qui finit en gangbang quand de la harsh et d'autres éléments tout aussi délicats viennent se greffer. Vous voyez le genre? Ben multipliez le résultat de votre imagination par le carré du degré de folie du plus grand asile de fous du monde. Et ça vous donnera une idée de la bête que Mulk régurgite, offrant vraiment un monstre de violence technologique sodomite dont vous êtes la proie, sur 5 titres qui vous ménera aux confins de la folie. Poésie quoi!
BLATTE (one man band aussi) enchaîne directement vers un brutal death complètement pété du bulbe, avec 7 titres où la folie n'est pas non plus absente. La forme que le bougre choisit est très brute de décoffrage mais où l'on navigue plus facilement en terrain connu même si Ré repousse ouvertement les limites de l'extrême du genre. Ça va vite mais les mélodies qui se démarquent font mouche (hahaha, que c'est cocasse pour une blatte...) quand la folie ne vient pas mettre son grain de sel ('la cucaracha'...) ou lorsque Mulk et Ré ne décident pas de faire un titre romantique qui s'avère une synthèse excellente des deux visions que proposent les gars, donnant un titre complètement azimuté mais super accrocheur. Quelque soit le titre, il y a toujours cette essence de brutal death qui y rampe, avec un coté fou furieux sympathique!
GLAVIO se présente enfin à son tour. Et là aussi, c'est du lourd. C'est un duo qui trouve bien qu'entre le brutal death et un grind brutal, le mieux, ce sont les deux. En même temps. Comme ça, pas de jaloux ni de répit, pour éviter que les fragiles se plaignent. Les 11 titres que propose le duo sont au péter du casque que brutal, avec un sens très marqué de l'efficacité, en proposant des titres vraiment accrocheurs. Pas le temps de souffler vraiment entre chaque titre car ici, c'est la défonce qui compte! Et pas un trip de drogue, non non, je parle de défonce de crânes. Le duo ne prend pas de pincette et fais dans l'urgence expéditive, comme si tu avais une grosse tourista et que tu est au dernier étage d'une tour de 35 étages où TOUT les WC sont hors service, comme les ascenseurs et que les chiottes les plus proches dispo sont dans l'autre tour de 35 étages, au dernier étages, à 200 mètres, de l'autre coté d'un fleuve en furie.
Un split idéal pour les barbecues entre potes ou voisins, histoire de détendre l'atmosphère.
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