CANNIBEBOLA
2017 CANNIBEBOLA - CD tout petit
Encore de la finesse qui nous vient d'Italie, avec ce split de Cannibe et Ebola, deux groupes aimant la tendresse, pendant 19 minutes (ne soyons pas tatillon).
Cannibe ouvre le bal avec 4 titres ouvertement goregrind, sans concession et cultivant la brutalité sans sommation. Le duo (car oui, ils sont deux...) propose certes des titres courts mais sans non plus proposer des titres simplistes non plus (pas plus que ce sera du super complexe difficile d'accès). Le chant est caractéristique du groupe, avec ce mixe entre régurgitation et lavabo bouché. L'ombre du cinéma gore des années 80 en Italie plane par moment, nous renvoyant dans la tête des images de films (du moins, si vous êtes connaisseurs du genre). Cannibe continue ainsi son bonhomme de chemin, continuant de proposer ce goregrind féroce avec une grosse culture derrière. Et mine de rien, ça va vite à bouffer du temps car le duo prend presque 9 minutes pour bien te pulvériser le crâne! Le dernier titre est un clin d’œil à Ebola ('Brothers in Ebola'), ce qui ne manque pas de sympathie!
Ebola (cinq gars italiens plein de fougue) prend le reste, avec donc 10 minutes environ et quelques 8 titres. Donc oui, ce sera dans l'urgence et la brutalité, à travers des titres à rallonge qui sont en fait des titres dans des titres (oui, ils inventent le concept titreception...). C'est très brutal, un grind complètement fou, entrecoupés de samples où la folie semble dominer. Le son est moins bon que la partie de Cannibe (alors qu'ils disent utiliser du matériel pro... bizarre) mais le coté urgent de leur grind fait le travail, nous renvoyant vers un grind plus primitif où seul compte le coté virulent et décomplexé. Le gros bordel régne aux chants, avec 4 chanteurs (dont une dame), participant clairement à ce coté urgent. Et aussi, il y a le dernier titre, qui est un clin d'oeil à cannibe ('Ivan e Nicola'). La boucle est bouclée!
Encore de la finesse qui nous vient d'Italie, avec ce split de Cannibe et Ebola, deux groupes aimant la tendresse, pendant 19 minutes (ne soyons pas tatillon).
Cannibe ouvre le bal avec 4 titres ouvertement goregrind, sans concession et cultivant la brutalité sans sommation. Le duo (car oui, ils sont deux...) propose certes des titres courts mais sans non plus proposer des titres simplistes non plus (pas plus que ce sera du super complexe difficile d'accès). Le chant est caractéristique du groupe, avec ce mixe entre régurgitation et lavabo bouché. L'ombre du cinéma gore des années 80 en Italie plane par moment, nous renvoyant dans la tête des images de films (du moins, si vous êtes connaisseurs du genre). Cannibe continue ainsi son bonhomme de chemin, continuant de proposer ce goregrind féroce avec une grosse culture derrière. Et mine de rien, ça va vite à bouffer du temps car le duo prend presque 9 minutes pour bien te pulvériser le crâne! Le dernier titre est un clin d’œil à Ebola ('Brothers in Ebola'), ce qui ne manque pas de sympathie!
Ebola (cinq gars italiens plein de fougue) prend le reste, avec donc 10 minutes environ et quelques 8 titres. Donc oui, ce sera dans l'urgence et la brutalité, à travers des titres à rallonge qui sont en fait des titres dans des titres (oui, ils inventent le concept titreception...). C'est très brutal, un grind complètement fou, entrecoupés de samples où la folie semble dominer. Le son est moins bon que la partie de Cannibe (alors qu'ils disent utiliser du matériel pro... bizarre) mais le coté urgent de leur grind fait le travail, nous renvoyant vers un grind plus primitif où seul compte le coté virulent et décomplexé. Le gros bordel régne aux chants, avec 4 chanteurs (dont une dame), participant clairement à ce coté urgent. Et aussi, il y a le dernier titre, qui est un clin d'oeil à cannibe ('Ivan e Nicola'). La boucle est bouclée!
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