SULSA / PUTREFUCK / VOMITOMA
2018 Whisky Warfare Records - CD
On enchaîne enfin avec de la poésie avec ce split (originellement de 2016) proposant 3 groupes en
16 titres pour 17 minutes. On va donc à l'essentiel: le bourrin bien dégueulasse (ben oui, vu la pochette, hein, faut pas être naïf...).
Sulsa ouvre les hostilités. Sulsa nous vient de Corée du Sud et propose un délicat goregrind au son bien gras, alliant bestialité et efficacité avec des vocaux que ne dénierait pas Tumour et LDOH (mais plus sage quand même). C'est très concis mais ça butte très bien et assure le carnage en règle.
Putrefuck enchaîne à la suite des 4 titres des coréens, en nous offrant 5 titres. Putrefuck nous vient du Mexique et nous propose un raw goregrind ultra bourrin où le son pousse les limites du dégueulasse aux limites admises conventionnellement. Le duo, malgré quelques passages lourds fait dans le ramonage en règle à la bombe H, avec un chant qui lorgne lui aussi vers Tumour, un coté enragé en plus.
Vomitoma, un américain, clôture ce split avec les 7 derniers titres. On part directement sur un goregrind bien dégueux, au son bien dégoulinant, abrasif et ne faisant pas non plus dans la finesse. on est dans le registre de la boite à rythme qui a pété un câble, avec un coté indus qui ressort un peu, donnant une profondeur malsaine à ce goregrind parfois saturé.
le split pour réveiller ces connards de voisins qui t'ont pourri ta nuit, un dimanche matin, vers 8 heures.
Un trop court split qui envoie le bois, le bûcheron (en morceaux), la hache et la forêt en pièces avec.
On enchaîne enfin avec de la poésie avec ce split (originellement de 2016) proposant 3 groupes en
16 titres pour 17 minutes. On va donc à l'essentiel: le bourrin bien dégueulasse (ben oui, vu la pochette, hein, faut pas être naïf...).
Sulsa ouvre les hostilités. Sulsa nous vient de Corée du Sud et propose un délicat goregrind au son bien gras, alliant bestialité et efficacité avec des vocaux que ne dénierait pas Tumour et LDOH (mais plus sage quand même). C'est très concis mais ça butte très bien et assure le carnage en règle.
Putrefuck enchaîne à la suite des 4 titres des coréens, en nous offrant 5 titres. Putrefuck nous vient du Mexique et nous propose un raw goregrind ultra bourrin où le son pousse les limites du dégueulasse aux limites admises conventionnellement. Le duo, malgré quelques passages lourds fait dans le ramonage en règle à la bombe H, avec un chant qui lorgne lui aussi vers Tumour, un coté enragé en plus.
Vomitoma, un américain, clôture ce split avec les 7 derniers titres. On part directement sur un goregrind bien dégueux, au son bien dégoulinant, abrasif et ne faisant pas non plus dans la finesse. on est dans le registre de la boite à rythme qui a pété un câble, avec un coté indus qui ressort un peu, donnant une profondeur malsaine à ce goregrind parfois saturé.
le split pour réveiller ces connards de voisins qui t'ont pourri ta nuit, un dimanche matin, vers 8 heures.
Un trop court split qui envoie le bois, le bûcheron (en morceaux), la hache et la forêt en pièces avec.
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