DRAGON'S DAUGHTERS 'Tits on fire'
2019 DRAGON'S DAUGHTERS - Ep Avec Ellie Promotion
Premier Ep d'un trio féminin ayant entre 19 et 20 ans certainement complètement péter du bulbe, avec une joie communicative, Dragon's Daughters nous offre une sorte de bouffée d'air frais et fun, sans prise de tête.
On remarquera la pochette, sublime, qui est un monument à elle seule et qui est une porte ouverte sur le contenu de cet Ep.
6 titres pour 15 minutes de presque un grand n'importe quoi avec des titres complètement pétés ('Pocket pussy'... sérieux!) d'une sorte de garage punk où le fun l'emporte, accompagné d'un esprit sans prise de tête. Alors, le quart d'heure, on ne le voit pas passer du tout. Alors qu'en lisant le papier, je me disais que 'Oulà... ça va être coton...'. Perdu! Même joueur essaie encore.
Musicalement, c'est assez simple, allant direct à l'essentiel, mais toujours avec une énergie et un coté positif. Pas de superflu, que du pratique.
La dame du chant module aussi sa voix, aussi bien en fonction d'un tempo pouvant être enlevé que d'une mélodie plus traînante, offrant une variété qui participe à cet objet musical difficilement catégorisable.
Dragon's daughters est une invitation à se vider la tête et à se foutre un sourire en travers de la gueule. Mais les filles ont aussi une certaine culture, ne serait que la preuve du début de 'Learn it' (et son début qui évoque furieusement 'Creep') et qui persiste pour moitié dans la forme et qui fait que l'on attend, comme un con, ce fameux coup de guitare précédent un mur de guitare qui, du coup, n'arrive jamais mais part sur une sorte de rock'n'roll joyeux (mais pas bordélique).
Ha oui, même si les filles font sans prise de tête, elles ne file pas dans un bordel sans nom. Bien au contraire, c'est très structuré, carré et c'est ça qui fait mouche, associé avec ce que j'ai dit plus haut.
Je parlais culture et le trio le prouve avec le dernier titre de l'Ep 'La chanson de Prévert', reprise sous acide d'une chanson de Gainsbourg, de 1962, lui offrant une jeunesse (et aussi un titre improbable sur cet Ep).
Une découverte improbable qui fout la pêche et te file le sourire pour la journée. On est loin, très loin du metal dans la forme mais dans l'esprit, ce n'est pas si éloigné que ça. Vraiment sympa!
Premier Ep d'un trio féminin ayant entre 19 et 20 ans certainement complètement péter du bulbe, avec une joie communicative, Dragon's Daughters nous offre une sorte de bouffée d'air frais et fun, sans prise de tête.
On remarquera la pochette, sublime, qui est un monument à elle seule et qui est une porte ouverte sur le contenu de cet Ep.
6 titres pour 15 minutes de presque un grand n'importe quoi avec des titres complètement pétés ('Pocket pussy'... sérieux!) d'une sorte de garage punk où le fun l'emporte, accompagné d'un esprit sans prise de tête. Alors, le quart d'heure, on ne le voit pas passer du tout. Alors qu'en lisant le papier, je me disais que 'Oulà... ça va être coton...'. Perdu! Même joueur essaie encore.
Musicalement, c'est assez simple, allant direct à l'essentiel, mais toujours avec une énergie et un coté positif. Pas de superflu, que du pratique.
La dame du chant module aussi sa voix, aussi bien en fonction d'un tempo pouvant être enlevé que d'une mélodie plus traînante, offrant une variété qui participe à cet objet musical difficilement catégorisable.
Dragon's daughters est une invitation à se vider la tête et à se foutre un sourire en travers de la gueule. Mais les filles ont aussi une certaine culture, ne serait que la preuve du début de 'Learn it' (et son début qui évoque furieusement 'Creep') et qui persiste pour moitié dans la forme et qui fait que l'on attend, comme un con, ce fameux coup de guitare précédent un mur de guitare qui, du coup, n'arrive jamais mais part sur une sorte de rock'n'roll joyeux (mais pas bordélique).
Ha oui, même si les filles font sans prise de tête, elles ne file pas dans un bordel sans nom. Bien au contraire, c'est très structuré, carré et c'est ça qui fait mouche, associé avec ce que j'ai dit plus haut.
Je parlais culture et le trio le prouve avec le dernier titre de l'Ep 'La chanson de Prévert', reprise sous acide d'une chanson de Gainsbourg, de 1962, lui offrant une jeunesse (et aussi un titre improbable sur cet Ep).
Une découverte improbable qui fout la pêche et te file le sourire pour la journée. On est loin, très loin du metal dans la forme mais dans l'esprit, ce n'est pas si éloigné que ça. Vraiment sympa!
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