KARRAS ' Precision quirurgica'
2015 Grinder Ciruiano Records - CD
Et bim que ça fait. Groupe d'Argentine, Karras doit son nom au prêtre du même nom dans le film l'exorciste, petite anecdote culturelle idéale à ressortir pour noël ou autre festivité tout aussi étrange.
Le groupe nous balance, sans prévenir, 14 titres en 46 minutes d'un death grind des plus énervés où le mid-tempo n'est pas à l'ordre du jour. Ici, ça va de vite à très vite, accompagné d'une voix très gutturale avec des glaire au fond de la gorge. Point de délicatesse en cette rondelle, la brutalité est la règle.
La norme de chaque titre est de défourailler de façon bien violente, sans la moindre concession et encore moins de pitié. Et ce, quelque soit la longueur du titre. Il est vrai que les 4 titres sous les trois minutes vont vraiment à l'essentiel, dans un seul but: annihiler toute envie d'en découdre. Et vu que les autres y vont déjà avec la bonne grosse tronçonneuse pour découper un steak (directement sur la bête - wesh des rimes de rap!!), je vous laisse le soin d'imaginer la certaine forme de barbarie qui suinte à chaque titre.
Le son est aussi intéressant car il met en avant la batterie (sans noyer le reste) et ne délaisse pas la basse non plus. Le son est foutrement correct, bien gras et assez dans les basses, ce qui donne son cachet à cet album. Alors il semble qu'il y ait deux version de cet album (à minima) car mon track listing au revers présente des différences avec celui dispo sur Encyclopedia metallum: des titres changent de position et remplacement de certains par d'autres (moi je n'ai point de trace d'un instrumental). Drogue?
Bon, alors, il faut bien s'en douter: entre le titre de l'album et le pays du groupe, le chant est donc en espagnol, donc pour le détail des paroles, référez vous à un traducteur. Mais c'est sûrement pas dans des thèmes chers à Céline Dion.
L'album est assez dense, fulgurant et ne laisse pas de répit à l'auditeur qui se doit d'être un amateur du genre pour éviter une déconstruction psychologique et cérébrale.
Et bim que ça fait. Groupe d'Argentine, Karras doit son nom au prêtre du même nom dans le film l'exorciste, petite anecdote culturelle idéale à ressortir pour noël ou autre festivité tout aussi étrange.
Le groupe nous balance, sans prévenir, 14 titres en 46 minutes d'un death grind des plus énervés où le mid-tempo n'est pas à l'ordre du jour. Ici, ça va de vite à très vite, accompagné d'une voix très gutturale avec des glaire au fond de la gorge. Point de délicatesse en cette rondelle, la brutalité est la règle.
La norme de chaque titre est de défourailler de façon bien violente, sans la moindre concession et encore moins de pitié. Et ce, quelque soit la longueur du titre. Il est vrai que les 4 titres sous les trois minutes vont vraiment à l'essentiel, dans un seul but: annihiler toute envie d'en découdre. Et vu que les autres y vont déjà avec la bonne grosse tronçonneuse pour découper un steak (directement sur la bête - wesh des rimes de rap!!), je vous laisse le soin d'imaginer la certaine forme de barbarie qui suinte à chaque titre.
Le son est aussi intéressant car il met en avant la batterie (sans noyer le reste) et ne délaisse pas la basse non plus. Le son est foutrement correct, bien gras et assez dans les basses, ce qui donne son cachet à cet album. Alors il semble qu'il y ait deux version de cet album (à minima) car mon track listing au revers présente des différences avec celui dispo sur Encyclopedia metallum: des titres changent de position et remplacement de certains par d'autres (moi je n'ai point de trace d'un instrumental). Drogue?
Bon, alors, il faut bien s'en douter: entre le titre de l'album et le pays du groupe, le chant est donc en espagnol, donc pour le détail des paroles, référez vous à un traducteur. Mais c'est sûrement pas dans des thèmes chers à Céline Dion.
L'album est assez dense, fulgurant et ne laisse pas de répit à l'auditeur qui se doit d'être un amateur du genre pour éviter une déconstruction psychologique et cérébrale.
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