DENY 'Paradise parasite'
2018 CRAMADA - Ep digital - Sortie le 27 avril 2018
Retour des suédois chauds brûlants en silence depuis 2000, avec un Ep de huit titres qu'il est bien, qu'il est cool, qu'il est bon, qu'il est buyant. Ici, rien qu'au nom et à la pochette, forte attrayante pour l'amateur de barbarie qui sommeille sûrement en toi, tu te doutes que ce ne sera point affaire de metal ultra symphonique aux titres longs comme... comme... comme un file d'attente pour l'ouverture d'un magasin Apple.
Non, point de ça ici, on en est foutrement loin. Et c'est tant mieux.
Sous une basse assez présente (c'est cool), le groupe balance donc huit petits brûlots juste jouissifs, dans une veine punk hardcore avec de très bons relents crust. Le coté hardcore se retrouve dans le chant essentiellement, très marqué, presque scandé parfois, qui tend vers un chant nettement plus crust par moment. Quand il n'y a pas un court passage qui nous évoque Sick off it all (il y a nettement pire, non?).
Et ce putain de coté brut, c'est
Pas de mystère, les titres sont ultra concis (entre 1'18'' et 2'22''), vont à l'essentiel et le font très bien, tout en dégageant une énergie brute de malades. Coté engagements, les titres parlent d'eux-même et ne sont pas là pour faire de la dentelle. Pas plus que Deny s'emmerde avec les fioritures inutiles. Ici, on est dans une certaine urgence bienvenue qui fait plaisir.
Le son est très massif, percutant et aussi, comme je l'ai dit au début, on entend bien la basse, ce qui donne clairement une profondeur au son. Et putain, l'ensemble se tient au béton armé. Bon alors oui, il y a un petit hic: il n'y a que huit titres, ce qui s'avère assez frustrant. Qu'importe, on appuie sur 'répète' ou on le met en boucle.
Bonne découverte qui envoie le bois, le bûcheron et la scierie, directement dans la gueule!
Retour des suédois chauds brûlants en silence depuis 2000, avec un Ep de huit titres qu'il est bien, qu'il est cool, qu'il est bon, qu'il est buyant. Ici, rien qu'au nom et à la pochette, forte attrayante pour l'amateur de barbarie qui sommeille sûrement en toi, tu te doutes que ce ne sera point affaire de metal ultra symphonique aux titres longs comme... comme... comme un file d'attente pour l'ouverture d'un magasin Apple.
Non, point de ça ici, on en est foutrement loin. Et c'est tant mieux.
Sous une basse assez présente (c'est cool), le groupe balance donc huit petits brûlots juste jouissifs, dans une veine punk hardcore avec de très bons relents crust. Le coté hardcore se retrouve dans le chant essentiellement, très marqué, presque scandé parfois, qui tend vers un chant nettement plus crust par moment. Quand il n'y a pas un court passage qui nous évoque Sick off it all (il y a nettement pire, non?).
Et ce putain de coté brut, c'est
Pas de mystère, les titres sont ultra concis (entre 1'18'' et 2'22''), vont à l'essentiel et le font très bien, tout en dégageant une énergie brute de malades. Coté engagements, les titres parlent d'eux-même et ne sont pas là pour faire de la dentelle. Pas plus que Deny s'emmerde avec les fioritures inutiles. Ici, on est dans une certaine urgence bienvenue qui fait plaisir.
Le son est très massif, percutant et aussi, comme je l'ai dit au début, on entend bien la basse, ce qui donne clairement une profondeur au son. Et putain, l'ensemble se tient au béton armé. Bon alors oui, il y a un petit hic: il n'y a que huit titres, ce qui s'avère assez frustrant. Qu'importe, on appuie sur 'répète' ou on le met en boucle.
Bonne découverte qui envoie le bois, le bûcheron et la scierie, directement dans la gueule!
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