THE BLACK ZOMBIE PROCESSION 'Vol III: the joys of being black at heart'
2014 Kicking Records - CD
Cela fait un petit bout de temps que je devais poser quelque chose sur cet ovni. Alors oui, ceux qui connaîtraient le groupe diront "qu'il y a 'IV: Heca-Tomb' qui est récent (2017) et gna gna gna gna." J'ai pas celui là, je n'ai que celui qui appose son nom plus haut.
Alors, dans ce coté décalé par rapport au style et à la thématique, on peut les ranger au coté de Tromatized Youth et leur hardcore qui est un hommage au grand cinéma de la Troma. Ici, BZP propose un crossover qui est un hommage au cinéma d'horreur et plus particulièrement ici les films de zombies (avec des références à Fulci, Roméro, Argento, Carpenter...).
On atteint quand même les 45 minutes avec les 13 titres qu'offre le groupe. Les titres ont des durées variables, suivant les besoins d'exploitation des titres et des films auquel ils renvoient. Musicalement, leur crossover n'est pas vraiment excité, pas de trucs pied au plancher. Eux ont fait le choix de quelque chose de plus posé, alliant d'autres influences (punk rock, heavy metal...) au besoin de ce qu'ils veulent créer, pour coller à l'esprit de l'oeuvre à laquelle ils rendent hommage au travers du titre.
Il y a un jeu marrant aussi qui ouvre des titres: trouve à quel film est lié le sample (en VO, histoire de bien de triturer les neurones...), permettant de poser une atmosphère auquel le groupe essaie ensuite de coller avec sa musique, ce qui peut expliquer le coté plus lent parfois.
Alors, ça fonctionne bien plus ou moins (mais quand même plus), en fait tout dépend de l'état d'esprit avec lequel on aborde une écoute de l'album. Mais en y allant pour passer un agréable moment, ça ne pose aucun souci.
Ce qui est cool, c'est que le chanteur, Elibats, module son chant, adoptant des variations qui donne de l'épaisseur aux morceaux, participant aux atmosphères que le groupe essaie de créer justement (et auxquelles le crossover est assez peu approprié quand on y réfléchit un peu (mais pas trop car au final le groupe y arrive et gère quand même le truc).
L'album est quand même assez chargé d'influences musicales, qui permettent à l'aise de sortir d'une redondance risquée. Et arrive ainsi à éviter l'écueil redouté de l'ennui.
Alors oui, on est loin des trucs pied au plancher comme je l'ai écrit plus haut mais il ne faut pas non plus croire que c'est pépère voire mou du genou (ou du bulbe, ça dépend de chacun...) et c'est souvent quand même assez soutenu en rythme.
C'est un groupe que je ne connaissais pas et qui vaut le coup de la découverte, surtout si en plsu on est amateurs de films de genre dignes de ce nom (ou pas en fait. C'est comme on aime...).
Cela fait un petit bout de temps que je devais poser quelque chose sur cet ovni. Alors oui, ceux qui connaîtraient le groupe diront "qu'il y a 'IV: Heca-Tomb' qui est récent (2017) et gna gna gna gna." J'ai pas celui là, je n'ai que celui qui appose son nom plus haut.
Alors, dans ce coté décalé par rapport au style et à la thématique, on peut les ranger au coté de Tromatized Youth et leur hardcore qui est un hommage au grand cinéma de la Troma. Ici, BZP propose un crossover qui est un hommage au cinéma d'horreur et plus particulièrement ici les films de zombies (avec des références à Fulci, Roméro, Argento, Carpenter...).
On atteint quand même les 45 minutes avec les 13 titres qu'offre le groupe. Les titres ont des durées variables, suivant les besoins d'exploitation des titres et des films auquel ils renvoient. Musicalement, leur crossover n'est pas vraiment excité, pas de trucs pied au plancher. Eux ont fait le choix de quelque chose de plus posé, alliant d'autres influences (punk rock, heavy metal...) au besoin de ce qu'ils veulent créer, pour coller à l'esprit de l'oeuvre à laquelle ils rendent hommage au travers du titre.
Il y a un jeu marrant aussi qui ouvre des titres: trouve à quel film est lié le sample (en VO, histoire de bien de triturer les neurones...), permettant de poser une atmosphère auquel le groupe essaie ensuite de coller avec sa musique, ce qui peut expliquer le coté plus lent parfois.
Alors, ça fonctionne bien plus ou moins (mais quand même plus), en fait tout dépend de l'état d'esprit avec lequel on aborde une écoute de l'album. Mais en y allant pour passer un agréable moment, ça ne pose aucun souci.
Ce qui est cool, c'est que le chanteur, Elibats, module son chant, adoptant des variations qui donne de l'épaisseur aux morceaux, participant aux atmosphères que le groupe essaie de créer justement (et auxquelles le crossover est assez peu approprié quand on y réfléchit un peu (mais pas trop car au final le groupe y arrive et gère quand même le truc).
L'album est quand même assez chargé d'influences musicales, qui permettent à l'aise de sortir d'une redondance risquée. Et arrive ainsi à éviter l'écueil redouté de l'ennui.
Alors oui, on est loin des trucs pied au plancher comme je l'ai écrit plus haut mais il ne faut pas non plus croire que c'est pépère voire mou du genou (ou du bulbe, ça dépend de chacun...) et c'est souvent quand même assez soutenu en rythme.
C'est un groupe que je ne connaissais pas et qui vaut le coup de la découverte, surtout si en plsu on est amateurs de films de genre dignes de ce nom (ou pas en fait. C'est comme on aime...).
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