SUICIDEFORCE
2018 INHUMAN HOMICIDE RECORDS - Démo CD
Haaaaa, l'Italie et son folklore local... En voici un bon exemple, avec ce genre quatuor qui nous arrose d'une démo de 11 titres, tous de grâce et de félicité. Bon, ici il faut chercher, vu le nom vers des registres loin de Lacuna Coil et autres groupes dans la même veine mais plutôt glisser vers, le doute ne vous ai pas permis, le grind et autres.
En l'occurrence, les 11 titres qui buttent sévère, nous emmène dans un voyage merveilleux entre grind et powerviolence, registres un poil énervés, on en coviendra tous. Et ici, il est abordé des thématiques avec de véritables paroles mais alors, putain, qu'il est énervé le chanteur (Sporko). C'est très rapide, sans empêcher cette variation entre grind et powerviolence, vraiment imbriqué l'un dans l'autre.
Les titres sont de courts à très courts (1'36' et 0'47) exception de final cut, qui culmine à un poil plus de 3 minutes et qui va arpenter d'autres rivages mais sans jamais renier la base musicale.
Le groupe ne lésine pas sur la violence car honnêtement, avec un nom comme ça, faire de la pop goth, ce serait étrange...
Les italiens m'évoquent pas mal les vétérans de la powerviolence italienne, les maîtres du genre, Cripple batards, à la différence que ces derniers sont énervés depuis... houlà... 1988. Suicideforce prend donc un départ intéressant avec ce parallèle point dégueux.
Le son de la démo, bien qu'un peut sale, n'en est pas moins accrocheur, participant aussi à ce qui fait que l'on accroche à ce qu'ils proposent (sauf si ce registre vous passe loin au-dessus de la tête...). Et nous propose vraiment quelque chose de carré, qui n'a pas a rougir de comparaison et que l'on sent vraiment honnête dans la démarche. Ha, vous ai-je dit que ça buttait sévère?
Haaaaa, l'Italie et son folklore local... En voici un bon exemple, avec ce genre quatuor qui nous arrose d'une démo de 11 titres, tous de grâce et de félicité. Bon, ici il faut chercher, vu le nom vers des registres loin de Lacuna Coil et autres groupes dans la même veine mais plutôt glisser vers, le doute ne vous ai pas permis, le grind et autres.
En l'occurrence, les 11 titres qui buttent sévère, nous emmène dans un voyage merveilleux entre grind et powerviolence, registres un poil énervés, on en coviendra tous. Et ici, il est abordé des thématiques avec de véritables paroles mais alors, putain, qu'il est énervé le chanteur (Sporko). C'est très rapide, sans empêcher cette variation entre grind et powerviolence, vraiment imbriqué l'un dans l'autre.
Les titres sont de courts à très courts (1'36' et 0'47) exception de final cut, qui culmine à un poil plus de 3 minutes et qui va arpenter d'autres rivages mais sans jamais renier la base musicale.
Le groupe ne lésine pas sur la violence car honnêtement, avec un nom comme ça, faire de la pop goth, ce serait étrange...
Les italiens m'évoquent pas mal les vétérans de la powerviolence italienne, les maîtres du genre, Cripple batards, à la différence que ces derniers sont énervés depuis... houlà... 1988. Suicideforce prend donc un départ intéressant avec ce parallèle point dégueux.
Le son de la démo, bien qu'un peut sale, n'en est pas moins accrocheur, participant aussi à ce qui fait que l'on accroche à ce qu'ils proposent (sauf si ce registre vous passe loin au-dessus de la tête...). Et nous propose vraiment quelque chose de carré, qui n'a pas a rougir de comparaison et que l'on sent vraiment honnête dans la démarche. Ha, vous ai-je dit que ça buttait sévère?
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