POSTMORTEM 'Velando la cabeza'
2017 Viscera Records - CD
Postmortem... ici, on se trouve non pas face à un des groupes européens ou du français mais en face de celui de la Colombie, pays spécialisé dans... la drogue, selon les médias télévisuels. mais bon, je m'en tape de la drogue. Ce qui m'intéresse dans ce cas est le groupe et cet album.
On a affaire à un trio qui a fondu (une famille?) le groupe en 2002. Et voici leur troisième méfait ici même.
10 titres, 21 minutes. On fait dans l'urgence expéditive ici! Et c'est cool! Pour les amateurs d'Epica et Evanescence, vous pouvez continuer la route (sauf si curieux). Car ici, oui monsieur, oui madame, on a un brutal death grind super violent, super énervé, super sonique (par le hérisson bleu...).
D'entrée, ce qui marque dans le son, bien que celui-ci soit un peu raw dira-t-on, c'est la basse, très audible. Et là, on applaudit, parce que le bassiste est un bourrin, au même titre que les autres.
ici, point de fioriture mais du concret, du brutal et de la violence que ce soit sur la rapidité ou des moshs parts, des breaks à décrocher ta tête ou des phases à te jeter sur les murs. Le chant est ultra guttural, très énervé aussi, avec des titres assez concis, qui respirent la folie et la violence. D'un bout à l'autre du disque, pas de moments de mous, pas d'instant pour se poser. Non, ici c'est une apocalypse de violence pendant 21 minutes où reprendre son souffle entre les 10 titres n'est pas un concept possible.
Il y a une certaine bizarrerie dans le son, avec une production qui varie un peu, comme si les titres avaient eu différents ingénieurs. Bon, en soit, on s'en tape, car ce n'est pas gênant et le groupe bute sévère! L'ai-je déjà dis?
Rattacher leur death grind à un groupe est impossible, on ne peut que le rattacher à cette forme barbare que les pays d'Amérique du sud et centrale arrivent à pondre, comme si les difficultés de la vie pouvaient être condensées dans un disque. Ce qui semble le cas d'ailleurs...
Postmortem ne perd pas de temps, va à l'essentiel mais en choisissant la veine brutale et sans concessions. Le groupe ne prend pas de pincettes et livre un véritable assaut à nos cerveaux, histoire de nous coller un grand sourire béat sur la gueule.
Postmortem... ici, on se trouve non pas face à un des groupes européens ou du français mais en face de celui de la Colombie, pays spécialisé dans... la drogue, selon les médias télévisuels. mais bon, je m'en tape de la drogue. Ce qui m'intéresse dans ce cas est le groupe et cet album.
On a affaire à un trio qui a fondu (une famille?) le groupe en 2002. Et voici leur troisième méfait ici même.
10 titres, 21 minutes. On fait dans l'urgence expéditive ici! Et c'est cool! Pour les amateurs d'Epica et Evanescence, vous pouvez continuer la route (sauf si curieux). Car ici, oui monsieur, oui madame, on a un brutal death grind super violent, super énervé, super sonique (par le hérisson bleu...).
D'entrée, ce qui marque dans le son, bien que celui-ci soit un peu raw dira-t-on, c'est la basse, très audible. Et là, on applaudit, parce que le bassiste est un bourrin, au même titre que les autres.
ici, point de fioriture mais du concret, du brutal et de la violence que ce soit sur la rapidité ou des moshs parts, des breaks à décrocher ta tête ou des phases à te jeter sur les murs. Le chant est ultra guttural, très énervé aussi, avec des titres assez concis, qui respirent la folie et la violence. D'un bout à l'autre du disque, pas de moments de mous, pas d'instant pour se poser. Non, ici c'est une apocalypse de violence pendant 21 minutes où reprendre son souffle entre les 10 titres n'est pas un concept possible.
Il y a une certaine bizarrerie dans le son, avec une production qui varie un peu, comme si les titres avaient eu différents ingénieurs. Bon, en soit, on s'en tape, car ce n'est pas gênant et le groupe bute sévère! L'ai-je déjà dis?
Rattacher leur death grind à un groupe est impossible, on ne peut que le rattacher à cette forme barbare que les pays d'Amérique du sud et centrale arrivent à pondre, comme si les difficultés de la vie pouvaient être condensées dans un disque. Ce qui semble le cas d'ailleurs...
Postmortem ne perd pas de temps, va à l'essentiel mais en choisissant la veine brutale et sans concessions. Le groupe ne prend pas de pincettes et livre un véritable assaut à nos cerveaux, histoire de nous coller un grand sourire béat sur la gueule.
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