ANTAGONISM 'Thrashocalypse'
2018 ANTAGONISM - CD avec Ellie Promotion
Ce qui est bien avec Ellie promotion, c'est la possibilité de faire de grands écarts musicaux. Et donc après de la délicatesse, on change de registre avec Antagonism et une vision du thrash qu'elle est bien.
D'abord, une mise au point: ici, on va parler de thrash tel qu'il était au début, avec des groupes comme Havok, Megadeath, Slayer... On parle de vieux thrash mais du gros thrash aussi.
Les petits jeunes nous offre un premier EP qui démarre fort avec un 'LxOxT' qui annonce la couleur très rapidement. Des groupes prestigieux ont dû bercer nos jeunes garnement à entendre ce qu'il nous offre.
Les 6 titres de la galettes sont très variés (attention, rien de mauvais la dedans, bien au contraire) et savent utiliser les règles du thrash comme un astrophysicien les équations à 70 inconnues. Les titres sont assez rapides, avec vraiment ce qui est caractéristique du thrash. On retrouve cet esprit typique mais avec un son bien actuel, assez gras (et ça aussi, c'est cool). Descentes de manches succèdent au remontées des dit manches, avec une rythmique implacable soutenue.
La voix est intéressante car elle est assez particulière mais colle vraiment à la musique que les gars s'arrachent des tripes. Des moments plus calmes succèdent à des sections rythmiques idéales pour se déboîter les cervicales. Même si il y a une ambiance bon enfant qui se dégage du disque, le groupe n'est pas là pour rigoler, faut pas déconner quand même (quoique...).
Les parties les plus marquantes sont clairement celles où les groupe se lâche complètement et que l'on sent que oui, ils se font plaisir!
La mélodie qui ouvre 'Speed hammer' me renvoie perpétuellement au groupe Zephyrous (black, groupe grec hélas disparu...) et son titre 'The serpent race'. Ecouter les deux, c'est juste bluffant comment un groupe peut, avec une mélodie renvoyer à un autre, à l'opposé. Et s'éloigner de ça pour offrir sans doute le titre le plus bulldozer de l'EP. Tout est dans le titre me direz-vous. Et c'est une putain de claque, pour se foutre sur la gueule en se pétant les cervicales.
Les garnements clôturent l'album avec une reprise efficace de Havok 'Point of no return', qui doit être clairement une de leurs influences.
Un premier EP qui donne vraiment faim et qu'on leur souhaite le meilleur!
Ce qui est bien avec Ellie promotion, c'est la possibilité de faire de grands écarts musicaux. Et donc après de la délicatesse, on change de registre avec Antagonism et une vision du thrash qu'elle est bien.
D'abord, une mise au point: ici, on va parler de thrash tel qu'il était au début, avec des groupes comme Havok, Megadeath, Slayer... On parle de vieux thrash mais du gros thrash aussi.
Les petits jeunes nous offre un premier EP qui démarre fort avec un 'LxOxT' qui annonce la couleur très rapidement. Des groupes prestigieux ont dû bercer nos jeunes garnement à entendre ce qu'il nous offre.
Les 6 titres de la galettes sont très variés (attention, rien de mauvais la dedans, bien au contraire) et savent utiliser les règles du thrash comme un astrophysicien les équations à 70 inconnues. Les titres sont assez rapides, avec vraiment ce qui est caractéristique du thrash. On retrouve cet esprit typique mais avec un son bien actuel, assez gras (et ça aussi, c'est cool). Descentes de manches succèdent au remontées des dit manches, avec une rythmique implacable soutenue.
La voix est intéressante car elle est assez particulière mais colle vraiment à la musique que les gars s'arrachent des tripes. Des moments plus calmes succèdent à des sections rythmiques idéales pour se déboîter les cervicales. Même si il y a une ambiance bon enfant qui se dégage du disque, le groupe n'est pas là pour rigoler, faut pas déconner quand même (quoique...).
Les parties les plus marquantes sont clairement celles où les groupe se lâche complètement et que l'on sent que oui, ils se font plaisir!
La mélodie qui ouvre 'Speed hammer' me renvoie perpétuellement au groupe Zephyrous (black, groupe grec hélas disparu...) et son titre 'The serpent race'. Ecouter les deux, c'est juste bluffant comment un groupe peut, avec une mélodie renvoyer à un autre, à l'opposé. Et s'éloigner de ça pour offrir sans doute le titre le plus bulldozer de l'EP. Tout est dans le titre me direz-vous. Et c'est une putain de claque, pour se foutre sur la gueule en se pétant les cervicales.
Les garnements clôturent l'album avec une reprise efficace de Havok 'Point of no return', qui doit être clairement une de leurs influences.
Un premier EP qui donne vraiment faim et qu'on leur souhaite le meilleur!
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