RESTOS HUMANOS sans titre
INTO THE RAVECORPSORATION 2017 - Cassette limité à l'Europe
Restos humanos est un groupe de grind death deux tiers colombien et un tiers Italien. Point de mystère, ce groupe envoie vraiment du lourd, sur album ou en live (il faut voir cette énergie de malade lâchée en direct!!). Ce nouvel album sans titre ne faut pas classe à part. Les huit titres répartis de façon équitable sur les deux faces, malgré un son volontairement un peu grumeleux s'avèrent être autant de titres qui défoncent, offrant un véritablement carnage sonore, succédant parfois après des intros dégageant une atmosphère macabre ou malsaine, ne surpassant nullement celle qui fait office de premier titre, la sinistre 'Incipit della morte'. Mais toujours ce mot d'ordre de tout détruire, comme le prouve directement 'Aquel aquel ojo' et son précipité de violence débridée. Oui, ça fait mal!! Et c'est ça qui est bon!!
Les titres sont très puissants, vindicatifs et ne n'ont pas peur d'aller loin. Alors oui, la cassette passe vraiment vite, en environ 23 minutes. La plupart des titres oscillent entre 1'30'' et 2''30, à l’exception de 'Creaturas desde la Selva' et du long et fascinant 'Black sunday' sur lequel je vais m'attarder un instant.
Ce titre, après une intro pas très festive débute sur un registre doom death lancinant, au chant très marqué où la violence n'est pas dans le rythme (si ce n'est peut-être dans les cymbales...) mais dans ce coté doom death, très martial dans le rythme imposé. Une sorte de vision de cauchemar auditif que le groupe dévoile ici un aspect intéressant, très différents des autres titres clairement rentre-dedans et vas-y que je t'enfonce le pick-up dans ta gueule.
Un excellent album à posséder, quelque soit le support que tu choisis (mais un support physique pour soutenir le groupe, hein. Sinon, tu crains.).
Restos humanos est un groupe de grind death deux tiers colombien et un tiers Italien. Point de mystère, ce groupe envoie vraiment du lourd, sur album ou en live (il faut voir cette énergie de malade lâchée en direct!!). Ce nouvel album sans titre ne faut pas classe à part. Les huit titres répartis de façon équitable sur les deux faces, malgré un son volontairement un peu grumeleux s'avèrent être autant de titres qui défoncent, offrant un véritablement carnage sonore, succédant parfois après des intros dégageant une atmosphère macabre ou malsaine, ne surpassant nullement celle qui fait office de premier titre, la sinistre 'Incipit della morte'. Mais toujours ce mot d'ordre de tout détruire, comme le prouve directement 'Aquel aquel ojo' et son précipité de violence débridée. Oui, ça fait mal!! Et c'est ça qui est bon!!
Les titres sont très puissants, vindicatifs et ne n'ont pas peur d'aller loin. Alors oui, la cassette passe vraiment vite, en environ 23 minutes. La plupart des titres oscillent entre 1'30'' et 2''30, à l’exception de 'Creaturas desde la Selva' et du long et fascinant 'Black sunday' sur lequel je vais m'attarder un instant.
Ce titre, après une intro pas très festive débute sur un registre doom death lancinant, au chant très marqué où la violence n'est pas dans le rythme (si ce n'est peut-être dans les cymbales...) mais dans ce coté doom death, très martial dans le rythme imposé. Une sorte de vision de cauchemar auditif que le groupe dévoile ici un aspect intéressant, très différents des autres titres clairement rentre-dedans et vas-y que je t'enfonce le pick-up dans ta gueule.
Un excellent album à posséder, quelque soit le support que tu choisis (mais un support physique pour soutenir le groupe, hein. Sinon, tu crains.).
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