PORNOPETROSJAN / KYST 'FR UA FASTFOODSPLIT'
2017 INHUMAN HOMICIDE RECORDS - CD
Ben tiens, on enchaîne, comme ça, sans transition avec du hautement improbable, avec ce split qui est aussi fou que complètement en marge, surtout par le premier groupe/projet/truc sonore.
Donc le premier qui ouvre la rondelle magique c'est PORNOPETROSJAN, un combo/groupe/projet/truc sonore ukrainien.Et qui nous offre six titres dans un registre de base grind/porn un truc très à part car très expérimental, avec des passages typés jazz, rock'n'roll, stoner... et des titres qui sont, dans le domaine, longs. Hop, un lien, pour te faire une vague idée (parce cette fois, il va loin dans le délire):
https://youtu.be/sBoJzJtNUec
Sur les 6 titres, 3 explosent les 4 minutes large, un gros feet fucking aux règles. Et permet au gars derrière de partir dans des délires franchement très aériens parfois! Et ce mélange étonnant prend bien, apportant une sacré dose d'oxygène! C'est complètement barge et à part mais qu'importe, ça le fait vraiment bien et il assume (tout en assurant sévère!!). Les vocaux sont peu présent et foutrement gores, dans la lignée de ceux de Tumour, ce qui n'est pas gênant pour les amateurs avertis.
Et on se prend au jeu de suivre le rythme qui a un coté rock'n'roll par piquets desasticots hannetons.
La production, quand à elle, il faut bien l'avouer, il y a apporté un soin très particulier. Le son est très bon, permet de profiter des pérégrinations musicales du gars. Excellent!
Kyst arrive ensuite. Et là, ça devient de la folie pure, un truc bien tordu, bien fun! Pour avoir une idée, aller sur la page de Kyst sur facebook.
Kyst est un one man band né en 2012, un projet raw grindcore complètement azimuté, à l'humour assumé dans les titres ou dans le développement des morceaux tournant au pire autour des 2'30''. Et ici, les 13 titres semblent développer un concept sur les chats. Ouais. Tu as bien lu. Les chats. Mais sous un angle très décalé, sans la moindre prise de tête, là n'est pas le but. Son seul but est de se faire plaisir et de s'amuser. Et aussi de se livrer à une sorte d'expérimentation hasardeuse complètement braque qui me fait bien marré.
Les vocaux ne sont là qu'un support de plus pour la folie de la musique et un exutoire assumé, lui aussi.
Evidemment, le son n'est pas le point le plus important, celui-ci étant volontairement saturé pour délivrer une impression grumeleuse qui colle bien au truc. Un split de grind freaks pour des grind freaks qui s'assument!!
Ben tiens, on enchaîne, comme ça, sans transition avec du hautement improbable, avec ce split qui est aussi fou que complètement en marge, surtout par le premier groupe/projet/truc sonore.
Donc le premier qui ouvre la rondelle magique c'est PORNOPETROSJAN, un combo/groupe/projet/truc sonore ukrainien.Et qui nous offre six titres dans un registre de base grind/porn un truc très à part car très expérimental, avec des passages typés jazz, rock'n'roll, stoner... et des titres qui sont, dans le domaine, longs. Hop, un lien, pour te faire une vague idée (parce cette fois, il va loin dans le délire):
https://youtu.be/sBoJzJtNUec
Sur les 6 titres, 3 explosent les 4 minutes large, un gros feet fucking aux règles. Et permet au gars derrière de partir dans des délires franchement très aériens parfois! Et ce mélange étonnant prend bien, apportant une sacré dose d'oxygène! C'est complètement barge et à part mais qu'importe, ça le fait vraiment bien et il assume (tout en assurant sévère!!). Les vocaux sont peu présent et foutrement gores, dans la lignée de ceux de Tumour, ce qui n'est pas gênant pour les amateurs avertis.
Et on se prend au jeu de suivre le rythme qui a un coté rock'n'roll par piquets des
La production, quand à elle, il faut bien l'avouer, il y a apporté un soin très particulier. Le son est très bon, permet de profiter des pérégrinations musicales du gars. Excellent!
Kyst arrive ensuite. Et là, ça devient de la folie pure, un truc bien tordu, bien fun! Pour avoir une idée, aller sur la page de Kyst sur facebook.
Kyst est un one man band né en 2012, un projet raw grindcore complètement azimuté, à l'humour assumé dans les titres ou dans le développement des morceaux tournant au pire autour des 2'30''. Et ici, les 13 titres semblent développer un concept sur les chats. Ouais. Tu as bien lu. Les chats. Mais sous un angle très décalé, sans la moindre prise de tête, là n'est pas le but. Son seul but est de se faire plaisir et de s'amuser. Et aussi de se livrer à une sorte d'expérimentation hasardeuse complètement braque qui me fait bien marré.
Les vocaux ne sont là qu'un support de plus pour la folie de la musique et un exutoire assumé, lui aussi.
Evidemment, le son n'est pas le point le plus important, celui-ci étant volontairement saturé pour délivrer une impression grumeleuse qui colle bien au truc. Un split de grind freaks pour des grind freaks qui s'assument!!
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