HYMEN HOLOCAUST 'Kissed by the dead... touched by the deformed'
2014 Splatter zombie records - CD
Que voilà un one man band des Pays-bas qui aime la joie, la tendresse et l'amour. Si possible le plus dégueulasse et avec des cadavres. Bien fermenté. Donc, pas de miracle, on a ici un concept album autour de la nécrophilie, inspiré par un film canadien sur la nécrophilie, 'Kissed' (moi je suis plus vers 'Blue Holocaust' tout en malaise et tabous transgressés ou 'The necrofiles' (les deux), beaucoup plus direct et outrancier)). Et tout naturellement, le style est bien évidemment du goregrind (je verrais mal du heavy pour ça...).
Le son est d'entrée excellent, très massif, avec une batterie qui sonne live (rhaaaaaaaaaa, la caisse claire!!!). Et c'est très rapide, sans concession. Vraiment aucune. Et c'est assez fort car bien que ce soit du goregrind, les titres dépassent les 3 minutes à l'aise Blaise, sans que les samples servant d'intro ne soit la cause ou la conséquence des durées. Car c'est bel et bien le parti pris de Morris, faire des titres qui poutrent sur la longueur, amenant des passages plus lents voir lourds sans pourtant oublier le style dévoyé.
Et cela donne une demi heure pour 12 titres qui fleurent le rance et la putréfaction. Et impossible pour moi de rapprocher vraiment sa musique d'un groupe particulier, Morris ayant pris le parti d'explorer son univers, tout en respectant les codes du style.
Et l'un d'entre eux est une forme d'humour que l'on retrouve dans les titres ('Cock Rubbin', 'No milf today', 'Steak and blowjob day'...), a l'opposé même de l'essence des titres qui eux, ne prétent pas à rire, ni même à sourire. Aspect se retrouvant dès le début face à ce mur de guitares, très rapides, offrant une déferlante de violence, semblant parfois hors de contro^le alors que non, celle-ci est bien maîtrisée, comme l'apport de rythmes plus lourds le prouve.
La nécrophilie en thématique forte lui permet ainsi d'avoir perpétuellement une ambiance glauque et poisseuse,, dérangeante (ha non? Ben fais écouter l'album à tes voisins et fais un deuil sur tes rapports amicaux éventuels avec...).
Et dans tout ça, on se prend au jeu de suivre les rythmiques, qui nous captent dans les méandres putrides de l'album, nous offrant une certaine forme de romance, mais bien déviante. c'est bestiale, brutale, immonde et pourtant, l'album est une véritable bombe d'efficacité!
Que voilà un one man band des Pays-bas qui aime la joie, la tendresse et l'amour. Si possible le plus dégueulasse et avec des cadavres. Bien fermenté. Donc, pas de miracle, on a ici un concept album autour de la nécrophilie, inspiré par un film canadien sur la nécrophilie, 'Kissed' (moi je suis plus vers 'Blue Holocaust' tout en malaise et tabous transgressés ou 'The necrofiles' (les deux), beaucoup plus direct et outrancier)). Et tout naturellement, le style est bien évidemment du goregrind (je verrais mal du heavy pour ça...).
Le son est d'entrée excellent, très massif, avec une batterie qui sonne live (rhaaaaaaaaaa, la caisse claire!!!). Et c'est très rapide, sans concession. Vraiment aucune. Et c'est assez fort car bien que ce soit du goregrind, les titres dépassent les 3 minutes à l'aise Blaise, sans que les samples servant d'intro ne soit la cause ou la conséquence des durées. Car c'est bel et bien le parti pris de Morris, faire des titres qui poutrent sur la longueur, amenant des passages plus lents voir lourds sans pourtant oublier le style dévoyé.
Et cela donne une demi heure pour 12 titres qui fleurent le rance et la putréfaction. Et impossible pour moi de rapprocher vraiment sa musique d'un groupe particulier, Morris ayant pris le parti d'explorer son univers, tout en respectant les codes du style.
Et l'un d'entre eux est une forme d'humour que l'on retrouve dans les titres ('Cock Rubbin', 'No milf today', 'Steak and blowjob day'...), a l'opposé même de l'essence des titres qui eux, ne prétent pas à rire, ni même à sourire. Aspect se retrouvant dès le début face à ce mur de guitares, très rapides, offrant une déferlante de violence, semblant parfois hors de contro^le alors que non, celle-ci est bien maîtrisée, comme l'apport de rythmes plus lourds le prouve.
La nécrophilie en thématique forte lui permet ainsi d'avoir perpétuellement une ambiance glauque et poisseuse,, dérangeante (ha non? Ben fais écouter l'album à tes voisins et fais un deuil sur tes rapports amicaux éventuels avec...).
Et dans tout ça, on se prend au jeu de suivre les rythmiques, qui nous captent dans les méandres putrides de l'album, nous offrant une certaine forme de romance, mais bien déviante. c'est bestiale, brutale, immonde et pourtant, l'album est une véritable bombe d'efficacité!
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