AGE OF AGONY 'Death metal artillery'
2014 Neverheard distro. Cassette audio 10 titres.
Et bam! Un autre album des Age of Agony, un groupe hongrois formé en 2002 (Silent Agony de 1995 à 2002) et que je saurais que vous conseiller si vous ne connaissez pas ce groupe, venant tout droit de l'underground. Le titre de l'album vous annonce la couleur: ce sera du death metal.
L'album dure quelques 42 minutes et ici, ce n'est pas fait pour les âmes sensibles. Sur une intro d'un régiment cavalier qui court, le couple guitare et batterie se pose pour rapidement se déployer en véritable assaut sonore. Couplez cela avec la voix d'ogre et vous avez une véritable charge agressive et assez rapide de death directement dans la gueule.
Ici, pas d'ambiance tranquille, le propos n'est pas aux fleurs ou à l'amour. ici on parle de guerre et de violence, en égratignant au passage les chrétiens. Point de fioriture, le groupe assume ses positions (depuis au moins leur démo 'The dark conquers all').
Les morceaux sont relativement rapides, même si des passages plus lents et brise nuque surviennent parfois. Mais l'ensemble est clairement soutenu, vindicatif, n'hésitant pas à apposer des passages très rapides. Généralement, quand le tempo se montre plus tranquille, une déflagration de violence n'est jamais loin, quitte à tromper l'auditeur en faisant durer le passage au tempo plus pépère (bien que cela soit relatif).
Leur death est plus du coté de l'old school, sans renier l'efficacité et la célérité qui est une de leur composante. Pas de place à l'approximation. Ici tout est fait pour être efficace, violent et ravageur. Le groupe balance sa colère (sa haine), le chanteur ayant cette voix d'ogre de malade, entre l'éructation et le vomissement. C'est très festif.
Les lignes mélodiques que l'on trouve dans les titres servent de support à un véritable mur de guitares, n'offrant pas d'autre choix que d'affronter la charge. C'est parfois très dense, posant la question à l'auditeur un poil sensible de la résistance à l'assaut.
L'inconvénient de la cassette est le son, assez moyen et ne permettant pas de savourer pleinement la machine de guerre en marche, le son étant un peu trop saturé, obligeant à un effort d'attention alors que sur CD, on peut s'abandonner à la hargne du groupe. Léger bémol sans importance, l'ensemble de l'album broyant très clairement ce petit accro.
Et bam! Un autre album des Age of Agony, un groupe hongrois formé en 2002 (Silent Agony de 1995 à 2002) et que je saurais que vous conseiller si vous ne connaissez pas ce groupe, venant tout droit de l'underground. Le titre de l'album vous annonce la couleur: ce sera du death metal.
L'album dure quelques 42 minutes et ici, ce n'est pas fait pour les âmes sensibles. Sur une intro d'un régiment cavalier qui court, le couple guitare et batterie se pose pour rapidement se déployer en véritable assaut sonore. Couplez cela avec la voix d'ogre et vous avez une véritable charge agressive et assez rapide de death directement dans la gueule.
Ici, pas d'ambiance tranquille, le propos n'est pas aux fleurs ou à l'amour. ici on parle de guerre et de violence, en égratignant au passage les chrétiens. Point de fioriture, le groupe assume ses positions (depuis au moins leur démo 'The dark conquers all').
Les morceaux sont relativement rapides, même si des passages plus lents et brise nuque surviennent parfois. Mais l'ensemble est clairement soutenu, vindicatif, n'hésitant pas à apposer des passages très rapides. Généralement, quand le tempo se montre plus tranquille, une déflagration de violence n'est jamais loin, quitte à tromper l'auditeur en faisant durer le passage au tempo plus pépère (bien que cela soit relatif).
Leur death est plus du coté de l'old school, sans renier l'efficacité et la célérité qui est une de leur composante. Pas de place à l'approximation. Ici tout est fait pour être efficace, violent et ravageur. Le groupe balance sa colère (sa haine), le chanteur ayant cette voix d'ogre de malade, entre l'éructation et le vomissement. C'est très festif.
Les lignes mélodiques que l'on trouve dans les titres servent de support à un véritable mur de guitares, n'offrant pas d'autre choix que d'affronter la charge. C'est parfois très dense, posant la question à l'auditeur un poil sensible de la résistance à l'assaut.
L'inconvénient de la cassette est le son, assez moyen et ne permettant pas de savourer pleinement la machine de guerre en marche, le son étant un peu trop saturé, obligeant à un effort d'attention alors que sur CD, on peut s'abandonner à la hargne du groupe. Léger bémol sans importance, l'ensemble de l'album broyant très clairement ce petit accro.
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