WORSELDER
2014 WORSELDER. Ep autoproduit
Worselder est un jeune groupe de l'Ariège qui nous offre cet Ep et qui d'entrée de jeu, pose un sérieux problème: comment définir honnêtement sa musique? Car sur les trois titres de la ronde galette de plastique, les influences oscille entre le heavy tendance stoner et le hardcore mais sans jamais verser complètement dans un des registres (ni dans la facilité, soit dit en passant).
Pour le heavy, cherchez celui des années 80 avec le modernisme stoner d'imbriqué dedans. Pour le hardcore, aller voir vers la vieille école. Et c'est là la magie du groupe, il fusionne tout ça, offrant une musique assez atypique et difficilement à cataloguer. Un peu comme Therapy? en moins pop et plus heavy.
Concrètement, cela donne des morceaux où toutes ces influences convergent, parfois limite du débridage en règle mais le heavy faisant sa loi, non. On ne verse pas dans le défourraillage express mais dans une approche permutant violence contrôlée et envolées stratosphérique du heavy couplé à la fumette du stoner (pour une certaine lourdeur tout en finesse). Les titres sont très structurés, très accrocheurs, du fait justement de ces particularités.
Le chant n'est pas en reste, lui aussi oscillant entre heavy (mais pas la forme tapette à voix aiguë) et le hardcore (là, c'est plus virulent), assez typé.
Les trois titres, bien que faisant entre 4 et 5 minutes ne sont pas rébarbatifs, passant comme une lettre à la poste, offrant même à mon étonnement de quoi s'occuper, ne voyant pas ces presque 15 minutes passer.
Ce qui me fait penser qu'en concert, ce doit être quelque chose!
Amateurs et amatrices de groupes hors sentier balisé, foncez, cela vaut le détour!
Worselder est un jeune groupe de l'Ariège qui nous offre cet Ep et qui d'entrée de jeu, pose un sérieux problème: comment définir honnêtement sa musique? Car sur les trois titres de la ronde galette de plastique, les influences oscille entre le heavy tendance stoner et le hardcore mais sans jamais verser complètement dans un des registres (ni dans la facilité, soit dit en passant).
Pour le heavy, cherchez celui des années 80 avec le modernisme stoner d'imbriqué dedans. Pour le hardcore, aller voir vers la vieille école. Et c'est là la magie du groupe, il fusionne tout ça, offrant une musique assez atypique et difficilement à cataloguer. Un peu comme Therapy? en moins pop et plus heavy.
Concrètement, cela donne des morceaux où toutes ces influences convergent, parfois limite du débridage en règle mais le heavy faisant sa loi, non. On ne verse pas dans le défourraillage express mais dans une approche permutant violence contrôlée et envolées stratosphérique du heavy couplé à la fumette du stoner (pour une certaine lourdeur tout en finesse). Les titres sont très structurés, très accrocheurs, du fait justement de ces particularités.
Le chant n'est pas en reste, lui aussi oscillant entre heavy (mais pas la forme tapette à voix aiguë) et le hardcore (là, c'est plus virulent), assez typé.
Les trois titres, bien que faisant entre 4 et 5 minutes ne sont pas rébarbatifs, passant comme une lettre à la poste, offrant même à mon étonnement de quoi s'occuper, ne voyant pas ces presque 15 minutes passer.
Ce qui me fait penser qu'en concert, ce doit être quelque chose!
Amateurs et amatrices de groupes hors sentier balisé, foncez, cela vaut le détour!
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