VALLENFYRE 'Splinters'
Vallenfyre 2014 - CD digipack tristement beau
Nous voici à un moment où, des fois, être triste, en colère, dépressif et ayant l'envie de tout niquer (pas sexuellement, sauf si mort, parce que voilà, y'en a marre quoi!) te prend mais tu n'as aucun disque pour accompagner cet état d'esprit que l'on pourrait définir comme mentalement instable. Et bien, ce n'est plus la peine d'égorger les yorkshires des mamies en leur pissant dessus (sur les mamies (toi, ça ne va vraiment pas...)) car voici le disque de ces moments merveilleux.
Définir le style c'est facile. Sombre. Puis aussi triste. Et énervé. Et malsain. Avec une violence lancinante, pas directe. Et puis sale. Donc voilà le portrait robot du doom death que nous offre ce groupe.
Le long des 11 titres, le groupe égrenne les variations de thèmes autour d'un doom death particulièrement efficace, allant de la mélancolie suicidaire lente à la dominante death rapide, briseuse de nuque. Ici, pas de place pour les mièvreries. Ici, la mort domine. Pour les hommes (et aussi les femmes qui aiment ça, ne soyons pas misogynes). Le monde est pourri et si vous en doutez, le groupe vous l'expliquera et vous convaincra.
Les titres, tout en festivités dépressives et macabres, quelque soit le rythme ou la structure dévolue, sont efficaces et redoutables. Quelque part, ce qui est sympa, c'est que le groupe renvoie cette époque lointaine du doom death (vers 1995 par là, les moins de 20 ans ne connaissent pas cette période, avec des groupes comme Cadaverous conditions, tout aussi joyeux...).
Malgré la forme musicale choisie, le groupe ne vers néanmoins pas dans la facilité et évite les pièges du doom death facile, limite fiotte. Le chant est assez linéaire, certes, mais il n'en est pas moins redoutable lui aussi, servant à installer le malaise et la décadence dans tes oreilles (je te rappelle que tu es triste, en colère, dépressif et ayant l'envie de tout niquer (pas sexuellement, sauf si mort, parce que voilà, y'en a marre quoi!).
La production est juste énorme mais avec un son grumeleux, coulant à la noirceur dégoulinante du disque.L'album est juste une tuerie, dans le genre. Non. Juste une tuerie. Et du coup, en 2017, votez Vallenfyre.
Nous voici à un moment où, des fois, être triste, en colère, dépressif et ayant l'envie de tout niquer (pas sexuellement, sauf si mort, parce que voilà, y'en a marre quoi!) te prend mais tu n'as aucun disque pour accompagner cet état d'esprit que l'on pourrait définir comme mentalement instable. Et bien, ce n'est plus la peine d'égorger les yorkshires des mamies en leur pissant dessus (sur les mamies (toi, ça ne va vraiment pas...)) car voici le disque de ces moments merveilleux.
Définir le style c'est facile. Sombre. Puis aussi triste. Et énervé. Et malsain. Avec une violence lancinante, pas directe. Et puis sale. Donc voilà le portrait robot du doom death que nous offre ce groupe.
Le long des 11 titres, le groupe égrenne les variations de thèmes autour d'un doom death particulièrement efficace, allant de la mélancolie suicidaire lente à la dominante death rapide, briseuse de nuque. Ici, pas de place pour les mièvreries. Ici, la mort domine. Pour les hommes (et aussi les femmes qui aiment ça, ne soyons pas misogynes). Le monde est pourri et si vous en doutez, le groupe vous l'expliquera et vous convaincra.
Les titres, tout en festivités dépressives et macabres, quelque soit le rythme ou la structure dévolue, sont efficaces et redoutables. Quelque part, ce qui est sympa, c'est que le groupe renvoie cette époque lointaine du doom death (vers 1995 par là, les moins de 20 ans ne connaissent pas cette période, avec des groupes comme Cadaverous conditions, tout aussi joyeux...).
Malgré la forme musicale choisie, le groupe ne vers néanmoins pas dans la facilité et évite les pièges du doom death facile, limite fiotte. Le chant est assez linéaire, certes, mais il n'en est pas moins redoutable lui aussi, servant à installer le malaise et la décadence dans tes oreilles (je te rappelle que tu es triste, en colère, dépressif et ayant l'envie de tout niquer (pas sexuellement, sauf si mort, parce que voilà, y'en a marre quoi!).
La production est juste énorme mais avec un son grumeleux, coulant à la noirceur dégoulinante du disque.L'album est juste une tuerie, dans le genre. Non. Juste une tuerie. Et du coup, en 2017, votez Vallenfyre.
Commentaires
Enregistrer un commentaire