VOIVOD 'Post society'
Century Media 2016 - CD (c'est un Ep, soyons fous!)
Tiens, un Voïvod! Que voilà quelque chose de cocasse (ou pas finalement, avec le recul que vous n'avez strictement aucun contexte de la cocasserie...). Alors, oui, j'eusse entendu du Voïvod, il y a longtemps, quand ils suintaient le thrash à travers tous les pores de leurs peaux. Mais entre ce lointain passé et là, ben je n'ai aucun disque. C'est le premier que j'acquiert, avec cette galette virevoltante et dansante. Du coup,c'est un peu une découverte...
Nous voilà avec ici un ep du groupe, offrant aux fans acharnés (mais pas qu'eux) avec un son qui est très cool car oui, on entend la basse de façon omniprésente (et ça, ça fait plaisir de l'entendre!). On a ainsi 5 titres pouvant faire péter le chrono dans la durée (imagine toi: jusqu'à 7'26''!!!) mais sans avoir la crainte de se faire chier. Rappelons nous que le groupe pète les 35 ans d'existence. Respect.
La trame musicale est clairement du métal progressif, qui s'avère assez accrocheur. Les paroles sont du style livres chez Plon, très dense, offrant à Snake (chant, pas Snake de MGS, pour les geeks qui se seraient perdus sur ce blog) la possibilité de... ben de se faire plaisir, tout simplement. Cela dit, le disque ne reste pas totalement sur un registre métal progressif pur et dur mais recèle en son sein des touches subtiles venant d'ailleurs, voir du passé (quelques relents thrash, dans des riffs notamment), offrant un large panel de sensations et de recoins à l'auditeur, parfois frôlant l'onirisme (We are connected).
Le groupe n'hésite pas à se lâcher dans certains passages, accélérant sensiblement le tempo par-ci, par-là. Le titre qui me parle le plus (oui, j'ai de grands dialogues avec des titres) est 'Silver machine' qui tient l'attention dès le début par une alchimie entre le chant et la mélodie, fil rouge du morceau qui revient.
Mais c'est aussi un ep avec un univers entre science-fiction et la technologie, plongeant l'auditeur dans un univers qu'ils maîtrisent complètement, ambiançant les morceaux de samples recherchés ou d'effets musicaux guitaristiques (basse et guitare) astucieusement mis pile poil où il faut.
Un premier achat et écoutes complètes qui font que je suis bien content de mon achat. Point de déception: la pochette refusé à mon voisin de 5 ans, au profit de celle que vous voyez en haut, que je ne sais pas qui l'a fait mais c'est chelou quand même...
Tiens, un Voïvod! Que voilà quelque chose de cocasse (ou pas finalement, avec le recul que vous n'avez strictement aucun contexte de la cocasserie...). Alors, oui, j'eusse entendu du Voïvod, il y a longtemps, quand ils suintaient le thrash à travers tous les pores de leurs peaux. Mais entre ce lointain passé et là, ben je n'ai aucun disque. C'est le premier que j'acquiert, avec cette galette virevoltante et dansante. Du coup,c'est un peu une découverte...
Nous voilà avec ici un ep du groupe, offrant aux fans acharnés (mais pas qu'eux) avec un son qui est très cool car oui, on entend la basse de façon omniprésente (et ça, ça fait plaisir de l'entendre!). On a ainsi 5 titres pouvant faire péter le chrono dans la durée (imagine toi: jusqu'à 7'26''!!!) mais sans avoir la crainte de se faire chier. Rappelons nous que le groupe pète les 35 ans d'existence. Respect.
La trame musicale est clairement du métal progressif, qui s'avère assez accrocheur. Les paroles sont du style livres chez Plon, très dense, offrant à Snake (chant, pas Snake de MGS, pour les geeks qui se seraient perdus sur ce blog) la possibilité de... ben de se faire plaisir, tout simplement. Cela dit, le disque ne reste pas totalement sur un registre métal progressif pur et dur mais recèle en son sein des touches subtiles venant d'ailleurs, voir du passé (quelques relents thrash, dans des riffs notamment), offrant un large panel de sensations et de recoins à l'auditeur, parfois frôlant l'onirisme (We are connected).
Le groupe n'hésite pas à se lâcher dans certains passages, accélérant sensiblement le tempo par-ci, par-là. Le titre qui me parle le plus (oui, j'ai de grands dialogues avec des titres) est 'Silver machine' qui tient l'attention dès le début par une alchimie entre le chant et la mélodie, fil rouge du morceau qui revient.
Mais c'est aussi un ep avec un univers entre science-fiction et la technologie, plongeant l'auditeur dans un univers qu'ils maîtrisent complètement, ambiançant les morceaux de samples recherchés ou d'effets musicaux guitaristiques (basse et guitare) astucieusement mis pile poil où il faut.
Un premier achat et écoutes complètes qui font que je suis bien content de mon achat. Point de déception: la pochette refusé à mon voisin de 5 ans, au profit de celle que vous voyez en haut, que je ne sais pas qui l'a fait mais c'est chelou quand même...
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