Decapitated Christ 'Arcane impurity ceremonies'
FDA Rekotz 2014 - CD 9 titres
La pochette du skeud m'a attiré l’œil dans son raque de CDs comme une Pin-up attire un puceau en manque. Il faut dire qu'elle est bien attrayante, suintant le morbide et le death à plein nez, avec un simple noir et blanc classe, faut bien l'avouez.
Alors, ce groupe totalement inconnu pour moi jusqu'à maintenant nous vient de la riante ville de Barcelone, en Espagne (si certains avaient un doute...) et évolue donc dans un death anti-religieux très festif.
Concrètement, le groupe nous piège d'entrée de jeu dès le premier titre, délicatement nommé 'And the carnage begins' qui délivre un death très efficace et assez rapide, à l'atmosphère assez macabre, aidé en cela d'une voix death très particulière et assez résonnante, donnant un ensemble très sombre, genre ogre avec une trachéite. Le groupe est assez énervé (bon, franchement énervé) et ne fait pas de compromis. Ça va assez vite, sans la moindre envie de rire. Ici, les intros qui ouvrent certains titres ne sont là que pour poser un malaise supplémentaire dans le seul but de te buter la tête avec un camion bélier. Le groupe ne renie pourtant pas non plus la délicatesse par le biais d'un sens de la mélodie, qui de temps à autre, vient aérer l'ensemble assez massif, aidé par une production qui fait plaisir à entendre. Les presque 40 minute de l'album passent comme une lettre à la poste, prenant bien soin de te labourer le cortex et te donner l'envie de te jeter sur les murs. Les rythmes y sont pour beaucoup, n'étant pas linéaires et arrivant parfois des moments plus martiaux ou appuyés, renforçant l'aspect brutal de la bête. Un album qui rejoint direct ma discothèque.
La pochette du skeud m'a attiré l’œil dans son raque de CDs comme une Pin-up attire un puceau en manque. Il faut dire qu'elle est bien attrayante, suintant le morbide et le death à plein nez, avec un simple noir et blanc classe, faut bien l'avouez.
Alors, ce groupe totalement inconnu pour moi jusqu'à maintenant nous vient de la riante ville de Barcelone, en Espagne (si certains avaient un doute...) et évolue donc dans un death anti-religieux très festif.
Concrètement, le groupe nous piège d'entrée de jeu dès le premier titre, délicatement nommé 'And the carnage begins' qui délivre un death très efficace et assez rapide, à l'atmosphère assez macabre, aidé en cela d'une voix death très particulière et assez résonnante, donnant un ensemble très sombre, genre ogre avec une trachéite. Le groupe est assez énervé (bon, franchement énervé) et ne fait pas de compromis. Ça va assez vite, sans la moindre envie de rire. Ici, les intros qui ouvrent certains titres ne sont là que pour poser un malaise supplémentaire dans le seul but de te buter la tête avec un camion bélier. Le groupe ne renie pourtant pas non plus la délicatesse par le biais d'un sens de la mélodie, qui de temps à autre, vient aérer l'ensemble assez massif, aidé par une production qui fait plaisir à entendre. Les presque 40 minute de l'album passent comme une lettre à la poste, prenant bien soin de te labourer le cortex et te donner l'envie de te jeter sur les murs. Les rythmes y sont pour beaucoup, n'étant pas linéaires et arrivant parfois des moments plus martiaux ou appuyés, renforçant l'aspect brutal de la bête. Un album qui rejoint direct ma discothèque.
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