VIOLENT MISERY - BLATTE - CIPOTOK - SUBARACHNOID SEPARATION
2017 INHUMAN HOMICIDE RECORDS - CD
On change de rythme mais pas vraiment de style avec ce split merveilleux, plein de fougue et de fureur. Et là, on va faire des chiffres qui vont faire genre stats et tout: 4 groupes, 18 titres, 31 minutes. Voilà. Ca claque non?
Violent Misery, ces 5 gars les cheveux dans le vent, qui nous viennent de Strasbourg et propose, au travers des 7 titres qui leur sont alloués un grind furieux, très rapide, au chant principal hystérique et au second guttural. C'est très accrocheur, très rapide et avec un titre de 1'30'' qui représente le plus long proposé, on ne peut pas évoquer l'ennui.
Blatte, c'est un one man band de Paris qui est déjà passé ici même, avec un premier jet très accrocheur. Seulement 3 titres mais avec 7 minutes à eux seuls, on a de la densité. Blatte, c'est un grind très agressif, très structuré, qui lui aussi poutre mais de façon plus appuyer. Comme avec son premier rejet 'The first blattephemy', on retrouve ce qui est la marque du gars, à savoir un joyeux mixage de métal extrême dont le grind est la colonne vertébrale. Ca blaste sévère, passant du gore au screamo puis au black (dans les multiples aspérités musicales que l'on peut capter), toujours en se foutant joyeusement des barrières musicales. Cool!!
Cipotok, nous emmène en voyage, en Asie du sud est. En Indonésie exactement, terres des groupes vraiment barrés et barbares. Et coup de chance, ils en sont! 5 titres pour Cipotok, dont une intro qui s'ouvre sur 4 titres festifs, tournant autour des dépravations sexuelles et de la vie nocturnes, à mi-chemin du goregrind (musique) et du brutal death (la voix, assez marquante et une partie de la structure musicale). Le premier titre, bien que d'essence goregrind est plus dans un registre hybride des deux courants pré-cités, du fait, entre autre des 4 minutes. Les autres titres sont plus concis mais toujours dans cette étrange balance pas désagréables.
Subarachnoid Separation nous vient de Russie et conclut ce split avec trois titres sentant bon le folklore russe et la dégueulasserie brute. Un gros grindgore au son assez raw et aux vocaux dignes de Tumour, en moins lavabo et plus cafetière. Ca bourrine sec, avec un son de guitare loin derrière la batterie mais quand même audible. Ca va vite et pour la note finale, nous offre une reprise de Gut 'Guntshredder', avec 27 secondes de joie.
Un split qui permet de découvrir, approfondir ou poser une colle (Subarachnoid Separation...) avec un pèle-mêle de grind très festif!
On change de rythme mais pas vraiment de style avec ce split merveilleux, plein de fougue et de fureur. Et là, on va faire des chiffres qui vont faire genre stats et tout: 4 groupes, 18 titres, 31 minutes. Voilà. Ca claque non?
Violent Misery, ces 5 gars les cheveux dans le vent, qui nous viennent de Strasbourg et propose, au travers des 7 titres qui leur sont alloués un grind furieux, très rapide, au chant principal hystérique et au second guttural. C'est très accrocheur, très rapide et avec un titre de 1'30'' qui représente le plus long proposé, on ne peut pas évoquer l'ennui.
Blatte, c'est un one man band de Paris qui est déjà passé ici même, avec un premier jet très accrocheur. Seulement 3 titres mais avec 7 minutes à eux seuls, on a de la densité. Blatte, c'est un grind très agressif, très structuré, qui lui aussi poutre mais de façon plus appuyer. Comme avec son premier rejet 'The first blattephemy', on retrouve ce qui est la marque du gars, à savoir un joyeux mixage de métal extrême dont le grind est la colonne vertébrale. Ca blaste sévère, passant du gore au screamo puis au black (dans les multiples aspérités musicales que l'on peut capter), toujours en se foutant joyeusement des barrières musicales. Cool!!
Cipotok, nous emmène en voyage, en Asie du sud est. En Indonésie exactement, terres des groupes vraiment barrés et barbares. Et coup de chance, ils en sont! 5 titres pour Cipotok, dont une intro qui s'ouvre sur 4 titres festifs, tournant autour des dépravations sexuelles et de la vie nocturnes, à mi-chemin du goregrind (musique) et du brutal death (la voix, assez marquante et une partie de la structure musicale). Le premier titre, bien que d'essence goregrind est plus dans un registre hybride des deux courants pré-cités, du fait, entre autre des 4 minutes. Les autres titres sont plus concis mais toujours dans cette étrange balance pas désagréables.
Subarachnoid Separation nous vient de Russie et conclut ce split avec trois titres sentant bon le folklore russe et la dégueulasserie brute. Un gros grindgore au son assez raw et aux vocaux dignes de Tumour, en moins lavabo et plus cafetière. Ca bourrine sec, avec un son de guitare loin derrière la batterie mais quand même audible. Ca va vite et pour la note finale, nous offre une reprise de Gut 'Guntshredder', avec 27 secondes de joie.
Un split qui permet de découvrir, approfondir ou poser une colle (Subarachnoid Separation...) avec un pèle-mêle de grind très festif!
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