COMPLETE FAILURE 'Crossburner'
2017 Season of Mist - CD
Cela fait un petit moment que je n'ai point poser de chronique ou autre chose ici.Pour différentes raisons, qui n'ont pas d'importances ici (sauf qu'il y a l'idée du site, que je me démerde seul à faire, avec un autre site et du coup, faut que je capte tout...). Et donc, pour briser ce long silence d'hiver, que de mieux que ce petit disque, plein de tendresse?
Alors je vous propose cette rondelle qui nous vient de Pittsburgh (oui, la même ville où fut tourner la nuit des morts-vivants en 1968) qui, en 14 titres, va juste vous pulvériser, mais en prenant régulièrement plaisir à vous piétiner.
Et oui, les 4 gentils garçons du groupe balancent sans prévenir un grind bien violent mais en y ajoutant un distilla bien sympathique qui lorgne vers le doom/sludge dans les fameuses phases de piétinement.
Du coup, ça nous offre un disque avec des titres parfois longs pour le genre mais apportant cette variation de piétinement, renforcer par le chant très typé hardcore (ce qui renforce quand même un poil la violence).
Et ce coté je te défonce direct s'ouvre par un premier titre qui embraye direct, sans la moindre intro, avec une rythmique digne d'un acteur porno parkinsonien qui besogne. mais qui révèle aussi ce qui attend l'auditeur avec un passage très lent, ce fameux piétinement (par une horde d'éléphants en rut je pense) qui lorgne bigrement vers les sphères doom/sludge des plus festives.
La base du disque reste néanmoins ce bon vieux grind des familles, très indentifiable dès la première salve de notes.
Paradoxalement, les morceaux les plus intéressants sont les plus longs, offrant ce contraste parfois bien oppressant grind - doom/sludge, avec toujours ce chant hardcore. Suicide screed of total invincibility (4'155'') offre justement cet esprit, que dis-je, cette vision atypique qui permet au groupe de pouvoir expérimenter (quoique, c'est plus de l'exploration aguerrie) et d'apréhender la violence sous un angle différent et qui donne au groupe cette touche d'originalité qui lui permet de se détacher du lot. Son opposé est le très grind (1'11) Soft white and paid for, rapide, brutal et incisif. Et avec ces deux titres on a les deux extrêmes du disque, avec un juste milieu réparti sur le reste de la galette.
Coté son, la basse claque sa grand-mère! Le groupe laisse tout loisir à chacun de s'exprimer et ça aussi c'est cool.
Un disque point mal du tout, qui fait bien le travail. c'et déjà ça non?
Cela fait un petit moment que je n'ai point poser de chronique ou autre chose ici.Pour différentes raisons, qui n'ont pas d'importances ici (sauf qu'il y a l'idée du site, que je me démerde seul à faire, avec un autre site et du coup, faut que je capte tout...). Et donc, pour briser ce long silence d'hiver, que de mieux que ce petit disque, plein de tendresse?
Alors je vous propose cette rondelle qui nous vient de Pittsburgh (oui, la même ville où fut tourner la nuit des morts-vivants en 1968) qui, en 14 titres, va juste vous pulvériser, mais en prenant régulièrement plaisir à vous piétiner.
Et oui, les 4 gentils garçons du groupe balancent sans prévenir un grind bien violent mais en y ajoutant un distilla bien sympathique qui lorgne vers le doom/sludge dans les fameuses phases de piétinement.
Du coup, ça nous offre un disque avec des titres parfois longs pour le genre mais apportant cette variation de piétinement, renforcer par le chant très typé hardcore (ce qui renforce quand même un poil la violence).
Et ce coté je te défonce direct s'ouvre par un premier titre qui embraye direct, sans la moindre intro, avec une rythmique digne d'un acteur porno parkinsonien qui besogne. mais qui révèle aussi ce qui attend l'auditeur avec un passage très lent, ce fameux piétinement (par une horde d'éléphants en rut je pense) qui lorgne bigrement vers les sphères doom/sludge des plus festives.
La base du disque reste néanmoins ce bon vieux grind des familles, très indentifiable dès la première salve de notes.
Paradoxalement, les morceaux les plus intéressants sont les plus longs, offrant ce contraste parfois bien oppressant grind - doom/sludge, avec toujours ce chant hardcore. Suicide screed of total invincibility (4'155'') offre justement cet esprit, que dis-je, cette vision atypique qui permet au groupe de pouvoir expérimenter (quoique, c'est plus de l'exploration aguerrie) et d'apréhender la violence sous un angle différent et qui donne au groupe cette touche d'originalité qui lui permet de se détacher du lot. Son opposé est le très grind (1'11) Soft white and paid for, rapide, brutal et incisif. Et avec ces deux titres on a les deux extrêmes du disque, avec un juste milieu réparti sur le reste de la galette.
Coté son, la basse claque sa grand-mère! Le groupe laisse tout loisir à chacun de s'exprimer et ça aussi c'est cool.
Un disque point mal du tout, qui fait bien le travail. c'et déjà ça non?
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