HYPEREMESIS 'Mince gore'
2017 Bunch Greenade - CDr (limité à 10 copies... bon courage aux explorateurs!!)
Haaaaaa, le Canada et son folklore... Tant de finesse, de subtilités... Mais pas là. Nan. Pas là.Faut pas déconner non plus. Je vous avais promis du violent, en voilà!!!
Tout est donné dans le titre de cet album, un hymne à l'underground. 30 titres, pas moins, pour quand même 38 minutes de sauvagerie qui déchire vraiment. Du très bon, un mélange entre goregrind à la LDOH, de la harshnoise et surtout, de la grosse brutalité sans faille. Pour vous donner une idée, imaginez un double fist mais nasal. Voilà ce qui vous attend.
Après une intro assez courte, le premier titre enchaîne et là, on prend une claque car le duo prend soin du son. Ce n'est pas parce que c'est du gore violent que le son doit être pourri. C'est très massif, avec un petit coté sale. On pourrait parler de dirty gore grind sans honte. Le son est assez saturé sur les basses, donnant un impact imparable aux titres. D'ailleurs, on pense à faire un lien avec Mortician pour le son et un peu les vocaux, bien que foutrement gore. Et que les paroles, on s'en branle, il n'y en a pas. La voix sert aussi d'instrument, en adéquation avec le reste.
Alors, oui, je vois des voix qui vont s'élever :"Ouais, c'est pas de la musique! Et gnagnagnagna!" Sans crainte on pourra leur répondre :"Et Jul, c'en est peut-être?".
Plus sérieusement, même si les titres passent vite du fait de leur relative concision, cela n'empêche pas le duo de les faire différents les uns des autres, de par la guitare ou le jeu de la batterie, avec des rythmes certes rapides mais assez amenant de la variété (mais pas à la Claude François ou Céline Dion... Non, ici môssieu c'est du sérieux.
Et l'on se prend à chercher (et trouver ) des petites variations sympas, donnant du corps au propos (qui, d'un point de vue technique n'existe pas je le rappelle, comme il n'y a pas vraiment de paroles...).
A partir du 18ème titre, le son change avec une approche très live, là non plus pas dégueulasse du tout, donnant une autre idée de la folie de ces deux sympathiques troubadours bucherons.
Qu'importe, ça va vite, ça bourrine, c'est gore avec un son très agréable. Je ne peux que conseiller aux amateurs de brutalités goreuses d'y aller les yeux fermés et les oreilles ouvertes.
Haaaaaa, le Canada et son folklore... Tant de finesse, de subtilités... Mais pas là. Nan. Pas là.Faut pas déconner non plus. Je vous avais promis du violent, en voilà!!!
Tout est donné dans le titre de cet album, un hymne à l'underground. 30 titres, pas moins, pour quand même 38 minutes de sauvagerie qui déchire vraiment. Du très bon, un mélange entre goregrind à la LDOH, de la harshnoise et surtout, de la grosse brutalité sans faille. Pour vous donner une idée, imaginez un double fist mais nasal. Voilà ce qui vous attend.
Après une intro assez courte, le premier titre enchaîne et là, on prend une claque car le duo prend soin du son. Ce n'est pas parce que c'est du gore violent que le son doit être pourri. C'est très massif, avec un petit coté sale. On pourrait parler de dirty gore grind sans honte. Le son est assez saturé sur les basses, donnant un impact imparable aux titres. D'ailleurs, on pense à faire un lien avec Mortician pour le son et un peu les vocaux, bien que foutrement gore. Et que les paroles, on s'en branle, il n'y en a pas. La voix sert aussi d'instrument, en adéquation avec le reste.
Alors, oui, je vois des voix qui vont s'élever :"Ouais, c'est pas de la musique! Et gnagnagnagna!" Sans crainte on pourra leur répondre :"Et Jul, c'en est peut-être?".
Plus sérieusement, même si les titres passent vite du fait de leur relative concision, cela n'empêche pas le duo de les faire différents les uns des autres, de par la guitare ou le jeu de la batterie, avec des rythmes certes rapides mais assez amenant de la variété (mais pas à la Claude François ou Céline Dion... Non, ici môssieu c'est du sérieux.
Et l'on se prend à chercher (et trouver ) des petites variations sympas, donnant du corps au propos (qui, d'un point de vue technique n'existe pas je le rappelle, comme il n'y a pas vraiment de paroles...).
A partir du 18ème titre, le son change avec une approche très live, là non plus pas dégueulasse du tout, donnant une autre idée de la folie de ces deux sympathiques troubadours bucherons.
Qu'importe, ça va vite, ça bourrine, c'est gore avec un son très agréable. Je ne peux que conseiller aux amateurs de brutalités goreuses d'y aller les yeux fermés et les oreilles ouvertes.
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