HOUR OF PENANCE 'Cast the first stone'
2017 Prosthetic records - CD
Vous remarquerez que j'en chie pour les covers des albums. Conne de lumière, con de tremblement et con de caméra... Enfin, bon, dissertons sur cet album.
Groupe que je découvre pour la première fois avec ce qui semble être leur septième album, les italiens balancent un brutal death très direct où la mélodie, en majorité, tu te la colles au cul. Au mieux. Au fond du cul pour les plus aventurier(ère)s aguerri(e)s.
D'entrée de jeu, l'album te pulvérise les neurones, sans crier gare (ou quoi que ce soit d'autre). Et c'est la guerre sur la rondelle. C'est très rapide, très direct, même si quelques rares moments plus "lents" (oui parce que la définition de lent ne correspond pas à ce que l'on entend). Et tout semble tourner autour de la thématique joyeuse et infinie de la guerre. Et là, ça tourne autour des croisades ou un truc du genre. Et alors que l'on aurait pu espérer des rythmiques martiales ou militaires, on n'en trouve peu ou prou. C'eut pu être une glorieuse idée donnant un impact supplémentaire.
qu'importe, les titres font le travail en démolissant bien le cerveau et les cervicales. Et le groupe le fait, en achevant les blessés en 9 titres aux guitares parfois ciselées d'un solo rapide mais classe.
Le groupe a aussi prit soin d'offrir un son massif pour mieux te niquer l'occiput dans la joie et l'allégresse. Alors, certes, il est vrai que les titres peuvent sembler parfois un peu répétitifs. Vu le rythme d'exécution de la chose, c'est sans doute là la cause. Car c'est pied au plancher, sans vraiment de répit, dans une masse compacte de murs de guitares. Donc, il est évident que les fans d'Epica ou de Nightwish risquent de ne pas trouver leur compte.
Plus concrètement, il est vrai que parfois, malgré la vitesse et la brutalité du disque, il y a une sorte d'étrange sentiment qui peut chercher à s’immiscer, une sorte d'ennui vicieux mais heureusement, ce fumier ne trouve pas le temps de s'installer.
Il y a aussi quelque chose qui montre l'humour du groupe. Dans le livret, il est écrit 'All lyrics and orchestrations by Paolo Pieri'. Soit. Mais honnêtement, je n'ai pas entendu l'ombre du moindre relent d'orchestration. Peut-être noyé dans le tout, ce qui est dommage, car ainsi le groupe aurait pu gagner en clarté et de pouvoir proposer des titres, tout en étant violent et dense. Bon, les orchestrations, en réalité, sont présentes. Mais vraiment perdu dans la masse, ce qui est dommage. La demi-heure du disque parait ainsi un peu plus mais en laissant un petit arrière goût d'inachevé quelque part. Bon, il y a pire, avouons le.
Vous remarquerez que j'en chie pour les covers des albums. Conne de lumière, con de tremblement et con de caméra... Enfin, bon, dissertons sur cet album.
Groupe que je découvre pour la première fois avec ce qui semble être leur septième album, les italiens balancent un brutal death très direct où la mélodie, en majorité, tu te la colles au cul. Au mieux. Au fond du cul pour les plus aventurier(ère)s aguerri(e)s.
D'entrée de jeu, l'album te pulvérise les neurones, sans crier gare (ou quoi que ce soit d'autre). Et c'est la guerre sur la rondelle. C'est très rapide, très direct, même si quelques rares moments plus "lents" (oui parce que la définition de lent ne correspond pas à ce que l'on entend). Et tout semble tourner autour de la thématique joyeuse et infinie de la guerre. Et là, ça tourne autour des croisades ou un truc du genre. Et alors que l'on aurait pu espérer des rythmiques martiales ou militaires, on n'en trouve peu ou prou. C'eut pu être une glorieuse idée donnant un impact supplémentaire.
qu'importe, les titres font le travail en démolissant bien le cerveau et les cervicales. Et le groupe le fait, en achevant les blessés en 9 titres aux guitares parfois ciselées d'un solo rapide mais classe.
Le groupe a aussi prit soin d'offrir un son massif pour mieux te niquer l'occiput dans la joie et l'allégresse. Alors, certes, il est vrai que les titres peuvent sembler parfois un peu répétitifs. Vu le rythme d'exécution de la chose, c'est sans doute là la cause. Car c'est pied au plancher, sans vraiment de répit, dans une masse compacte de murs de guitares. Donc, il est évident que les fans d'Epica ou de Nightwish risquent de ne pas trouver leur compte.
Plus concrètement, il est vrai que parfois, malgré la vitesse et la brutalité du disque, il y a une sorte d'étrange sentiment qui peut chercher à s’immiscer, une sorte d'ennui vicieux mais heureusement, ce fumier ne trouve pas le temps de s'installer.
Il y a aussi quelque chose qui montre l'humour du groupe. Dans le livret, il est écrit 'All lyrics and orchestrations by Paolo Pieri'. Soit. Mais honnêtement, je n'ai pas entendu l'ombre du moindre relent d'orchestration. Peut-être noyé dans le tout, ce qui est dommage, car ainsi le groupe aurait pu gagner en clarté et de pouvoir proposer des titres, tout en étant violent et dense. Bon, les orchestrations, en réalité, sont présentes. Mais vraiment perdu dans la masse, ce qui est dommage. La demi-heure du disque parait ainsi un peu plus mais en laissant un petit arrière goût d'inachevé quelque part. Bon, il y a pire, avouons le.
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