BENIGHTED 'Necrobreed'
2016 Season of mist - CD
Et hop, place à un condensé de tendresse et d'amour, avec les délicats Benighted, ces gentils crooners français. Pour ceux qui ne connaîtraient point ce groupe (Serait-ce possible?), si entre le titre, la pochette et le nom du groupe vous croyez avoir affaire à un quelconque groupe pour emballer, alors c'est mort (sauf si c'est pour emballer un cadavre mais on dit mettre en bière...).
Après une intro toute dérangeante avec cette comptine pour enfant dans une ambiance assez malsaine, le premier titre déboule et on a affaire à du Grand Benighted. Et ça fait très très mal, l'album tapant dans un brutal death dérapant parfois avec des rugosités grind. Le son est très massif, de très bonne qualité et, le truc fou, on ne voit pas l'album défiler.
Les 11 titres (plus l'intro) vont à l'essentiel: pilonner en règle vos neurones. Point. On pourrait avoir des soucis d'ailleurs si l'ONU considérait cette galette comme une arme de destruction massive de part l'intensité hallucinante qui s'en dégage. 38 minutes pour te péter les cervicales.
On a affaire à de vrais professionnels de l’équarrissage et il est certains que quelques uns risquent de se jeter sur les murs à l'écoute de cet album très jouissif.
Benighted fait partie des groupes qui se bonifient et deviennent de plus en plus intense en vieillissant et moi, c'est une évolution qui me plait bien. Et qui ne les empêche pas d'apporter de petites subtilités, comme des chœurs guerriers sur une fin de titres, sous forme de chant scandé (Psychosilence) ou des samples très malsains de crient de chiens bien à propos (Forgive me father) ou même un chant ultra gore bref ( à la Tumour).
Pourrait-on parler de folie? Surement. Mais quelle folie jouissive!
Les titres font dans la délicatesse et le bon goût: ils se branlent complètement du politiquement correct et chie sur les convenances. Deux titres offrent d'ailleurs la joie de comprendre les paroles, car chantés en français: le court Necrobreed, très proche du grind, très extrême dans le genre et Versipellis, plus peaufiné, prenant plus de temps (de façon toute relative) pour mieux déglinguer la gueule de l'auditeur.
Benigthed nous offre tout simplement une putain de bombe de death très brutal et ultra carré et efficace que tout amateur d'extrême se doit d'avoir.
Et hop, place à un condensé de tendresse et d'amour, avec les délicats Benighted, ces gentils crooners français. Pour ceux qui ne connaîtraient point ce groupe (Serait-ce possible?), si entre le titre, la pochette et le nom du groupe vous croyez avoir affaire à un quelconque groupe pour emballer, alors c'est mort (sauf si c'est pour emballer un cadavre mais on dit mettre en bière...).
Après une intro toute dérangeante avec cette comptine pour enfant dans une ambiance assez malsaine, le premier titre déboule et on a affaire à du Grand Benighted. Et ça fait très très mal, l'album tapant dans un brutal death dérapant parfois avec des rugosités grind. Le son est très massif, de très bonne qualité et, le truc fou, on ne voit pas l'album défiler.
Les 11 titres (plus l'intro) vont à l'essentiel: pilonner en règle vos neurones. Point. On pourrait avoir des soucis d'ailleurs si l'ONU considérait cette galette comme une arme de destruction massive de part l'intensité hallucinante qui s'en dégage. 38 minutes pour te péter les cervicales.
On a affaire à de vrais professionnels de l’équarrissage et il est certains que quelques uns risquent de se jeter sur les murs à l'écoute de cet album très jouissif.
Benighted fait partie des groupes qui se bonifient et deviennent de plus en plus intense en vieillissant et moi, c'est une évolution qui me plait bien. Et qui ne les empêche pas d'apporter de petites subtilités, comme des chœurs guerriers sur une fin de titres, sous forme de chant scandé (Psychosilence) ou des samples très malsains de crient de chiens bien à propos (Forgive me father) ou même un chant ultra gore bref ( à la Tumour).
Pourrait-on parler de folie? Surement. Mais quelle folie jouissive!
Les titres font dans la délicatesse et le bon goût: ils se branlent complètement du politiquement correct et chie sur les convenances. Deux titres offrent d'ailleurs la joie de comprendre les paroles, car chantés en français: le court Necrobreed, très proche du grind, très extrême dans le genre et Versipellis, plus peaufiné, prenant plus de temps (de façon toute relative) pour mieux déglinguer la gueule de l'auditeur.
Benigthed nous offre tout simplement une putain de bombe de death très brutal et ultra carré et efficace que tout amateur d'extrême se doit d'avoir.
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