HYPNOTIC DRIVE 'Full throttle'
2017 Hypnotic Drive - Avec Ellie Promotion- CD digipack
Outre une bien belle voiture le devant de l'objet, le contenu devrait combler les amateurs de mélanges appréciables, qui ici nous mène dans un voyage à travers les routes poussiéreuses et écrasées de soleil des déserts américains.
Concrètement, le groupe s'y prend de la plus simple (et du coup, efficace) manière, en manipulant un stoner bien gras, aidé par le chant assez râpeux du chanteur (et qui colle bien à la musique). Les 9 offrandes que font les 4 gaillards au dieu de l'asphalte s'avèrent être de très bonne facture, sachant que le stoner n'est pas un genre que je côtoie souvent ou qui m'attire tel un papillon suicidaire va se coller à une lampe à insectes.
Ce qui ressort d'office, ce sont les riffs bien gras, suintants la lourdeur que nous balance le groupe, dès le début et ce, sans nous prévenir auparavant.
Les titres sont très riches en eux-même, en plus d'être différents et évitant une certaine redondance qui pourrait nous gâcherla vie heu non, l'écoute.
Il est vrai qu'au début de mes écoutes, j'ai un peu buté sur la chose. Puis j'ai été pris dans le sillage du groupe, aidé par cette voix qui devient familière, pour un disque qui nous inviterait à manger du kilomètre.
Certains titres sont nettement plus pêchus que d'autres, qui à l'inverse laisse la rugosité prendre le dessus, offrant un contraste et un univers bien à eux. Complètement incapable de citer des références aux amateurs de stoner, hormis Karma to Burn, qui semblent être un point d’intérêt du groupe, le reste, hahahaha, je ne sais pas. En tout cas, il y a du lourd dedans, et pas que dans la musique et ce sans être péjoratif.
Comme je le disais quelques lignes plus haut, j'ai eut un peu de mal au début. Mais au final, une fois pris au jeu, j'ai trouvé dommage que le disque ne soit pas plus long (oui, bon, il y a quand même presque 40 minutes à savourer, sois en conduisant ou alors avec un bon bourbon à la main). Et l'on n'hésite pas à refaire une seconde écoute. Puis une troisième, car les morceaux sont denses et recèlent mille détails demandant clairement un long temps pour tous les capter. Car le groupe varie les plaisirs, entre tempos lent, presque hypnotiques parfois et d'autres, vraiment plus énervés (dans un registre stoner hein, ne mélangeons pas non plus tout...). Le son aussi participe à la magie de la chose, à la fois gras, rugueux, avec un coté propre aux années 70, renforçant clairement l'impression d'être emmené en voyage. Ce qui est certain en tous les cas, c'est l'adhésion obligatoire de tout fan de stoner à ce groupe et l'achat obligatoire pour soutenir le groupe.
Outre une bien belle voiture le devant de l'objet, le contenu devrait combler les amateurs de mélanges appréciables, qui ici nous mène dans un voyage à travers les routes poussiéreuses et écrasées de soleil des déserts américains.
Concrètement, le groupe s'y prend de la plus simple (et du coup, efficace) manière, en manipulant un stoner bien gras, aidé par le chant assez râpeux du chanteur (et qui colle bien à la musique). Les 9 offrandes que font les 4 gaillards au dieu de l'asphalte s'avèrent être de très bonne facture, sachant que le stoner n'est pas un genre que je côtoie souvent ou qui m'attire tel un papillon suicidaire va se coller à une lampe à insectes.
Ce qui ressort d'office, ce sont les riffs bien gras, suintants la lourdeur que nous balance le groupe, dès le début et ce, sans nous prévenir auparavant.
Les titres sont très riches en eux-même, en plus d'être différents et évitant une certaine redondance qui pourrait nous gâcher
Il est vrai qu'au début de mes écoutes, j'ai un peu buté sur la chose. Puis j'ai été pris dans le sillage du groupe, aidé par cette voix qui devient familière, pour un disque qui nous inviterait à manger du kilomètre.
Certains titres sont nettement plus pêchus que d'autres, qui à l'inverse laisse la rugosité prendre le dessus, offrant un contraste et un univers bien à eux. Complètement incapable de citer des références aux amateurs de stoner, hormis Karma to Burn, qui semblent être un point d’intérêt du groupe, le reste, hahahaha, je ne sais pas. En tout cas, il y a du lourd dedans, et pas que dans la musique et ce sans être péjoratif.
Comme je le disais quelques lignes plus haut, j'ai eut un peu de mal au début. Mais au final, une fois pris au jeu, j'ai trouvé dommage que le disque ne soit pas plus long (oui, bon, il y a quand même presque 40 minutes à savourer, sois en conduisant ou alors avec un bon bourbon à la main). Et l'on n'hésite pas à refaire une seconde écoute. Puis une troisième, car les morceaux sont denses et recèlent mille détails demandant clairement un long temps pour tous les capter. Car le groupe varie les plaisirs, entre tempos lent, presque hypnotiques parfois et d'autres, vraiment plus énervés (dans un registre stoner hein, ne mélangeons pas non plus tout...). Le son aussi participe à la magie de la chose, à la fois gras, rugueux, avec un coté propre aux années 70, renforçant clairement l'impression d'être emmené en voyage. Ce qui est certain en tous les cas, c'est l'adhésion obligatoire de tout fan de stoner à ce groupe et l'achat obligatoire pour soutenir le groupe.
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